Les Grotesques de la musique/ch16
Librairie nouvelle, (p. 40-41).
Un baiser de Rossini.
Un amateur de violoncelle eut l’honneur de jouer devant Rossini.
« Le grand maître, racontait notre homme, dix ans
après, a été si enchanté de mon jeu, que, m’interrompant
au milieu d’un cantabile, il est venu me donner
un baiser sur le front. Depuis lors, pour conserver l’illustre
empreinte, je ne me suis plus lavé la figure. »