Les Grotesques de la musique/ch53
Apparence
Librairie nouvelle, (p. 206).
Mot de M. Auber.
Un ténor dont la voix n’est ni pure ni sonore, chantait
dans un salon la romance de Joseph ; au moment
où il prononçait ces paroles :
« Dans un humide et froid abîme,
Ils me plongent, dans leur fureur, »
Ils me plongent, dans leur fureur, »
M. Auber, se tournant vers son voisin, dit : « Décidément, Joseph est resté trop longtemps dans la citerne. »