Aller au contenu

Les Opalines/L’auto

La bibliothèque libre.
L. Vanier (p. 64).

L’AUTO

L’auto surgit du noir, semeur d’émois.
Il passe, ses deux yeux pâles d’effroi,
Goûtant, fiévreux, en son délire avide,
La grisante possession du vide.