Chapitre II : Continuation de ce sujet : les Grecs ont presque tout dérobé aux Hébreux. — Les Grecs se sont pris mutuellement les maximes qui appartenaient à chacun d’eux.
Chapitre III : Pour établir de nouveau que les Grecs ont tout dérobé aux Hébreux, l’auteur prouve qu’ils ont transporté dans leur histoire et leur mythologie les miracles racontés par les saintes Écritures.
Chapitre IV : Une grande partie des doctrines qui composent la philosophie grecque vient des Égyptiens et des Gymnosophistes de l’Inde, célèbres les uns et les autres par leur sagesse.
Chapitre V : Les Grecs ont eu quelque connaissance du vrai Dieu.
Chapitre VI : L’Évangile a été annoncé aux Gentils qui se trouvaient dans les enfers, aussi bien qu’aux Juifs et aux Gentils qui vivaient alors.
Chapitre VII : Quelle est la véritable sagesse et le maître qui nous l’enseigne.
Chapitre VIII : La philosophie, quoique l’apôtre la rabaisse en comparaison de la lumière plus parfaite de l’Évangile, ne laisse pas d’être une connaissance donnée par Dieu.
Chapitre IX : Le vrai Gnostique est entièrement libre de toutes les perturbations de l’âme.
Chapitre X : Il faut s’instruire également dans les sciences humaines, qui sont les auxiliaires de la foi et préparent l’esprit à la perception des choses divines.
Chapitre XI : Le sens mystique des choses divines est renfermé dans les proportions numériques ou géométriques et dans les différents modes de la musique.
Chapitre XII : Les hommes peuvent tous indistinctement arriver à la perfection. Le vrai Gnostique est le seul qui atteigne le but.
Chapitre XIII : Il y a dans le ciel de hauts degrés de gloire réservés aux véritables Gnostiques et correspondant aux dignités d’évêque, de prêtre et de diacre dans l’Église terrestre.
Chapitre XIV : Une demeure est assignée dans le ciel, selon le mérite de chacun, à ceux qui aiment la vérité et qui font le bien.
Chapitre XV : Des différents degrés de la connaissance qui conduit à la perfection. Pourquoi l’obscurité et le mysticisme de l’Écriture.
Chapitre XVI : Le Décalogue pris pour exemple d’interprétation mystique.
Chapitre XVII : Quoique la philosophie n’ait pas donné la parfaite connaissance de Dieu, elle est cependant un remède pour les âmes.
Chapitre XVIII : Le Gnostique ne touche qu’en passant, et pour se délasser, à la philosophie grecque. Il se hâte d’arriver à la doctrine chrétienne, source de toute sagesse.