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Les travaux d’Hercule, ou la rocambole de la fouterie/L’équitation

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LES TRAVAUX
D’HERCULE.

L’ÉQUITATION.

Première manière.

Deux femmes et un homme composent ce voluptueux trio. Il faut, pour goûter le plaisir de ce grouppe charnel, que l’homme soit pourvu d’un membre d’une longueur démesurée.

Il prend une des femmes qui doit être debout, et lui passe par derrière sa verge entre les cuisses. L’autre femme présente le cul à la hauteur du mont-de-Venus de sa compagne, et notre Hercule lui passe l’instrument dans le postérieur. Il la saisit par les aines, et lui réitère les mouvemens les plus vigoureux ; sa bouche se trouve alors à la hauteur de celle de la femme qui est à califourchon sur le pivot scrutateur. Elle tourne voluptueusement la tête de son côté, et lui présente une bouche lascive dans laquelle il insinue sa langue. Il la gamahuche alors jusqu’au moment de l’éjaculation spermatique, qui, en inondant le cul de la femme courbée, vient réjaillir contre la motte de celle qui est debout.

Ce raffinement de volupté est une des situations les plus agréables. On en doit l’invention à Néron, ce déterminé roué qui avoit épuisé, sur le corps d’un nombre prodigieux de concubines, tous les moyens plus recherchés, pour se procurer des sensations délicates et nouvelles.