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Les travaux d’Hercule, ou la rocambole de la fouterie/La pousse-pousse

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LA POUSSE-POUSSE,
OU
MOUVEMENT PERPÉTUEL.


Dixième manière.

Deux nerveux athlètes prennent, l’un par-devant, l’autre par-derrière, une femme de la plus grande souplesse dans les reins. Celui de devant l’enconne fortement, pendant que l’autre lui met la verge dans l’orifice du cul ; ensuite par un mouvement alternatif, l’un pousse quand l’autre cède, et toujours de même.

La femme doit se prêter à ces différentes impulsions, par une flexion moëlleuse et mesurée.

Le fouteur de devant peut, pour couronner l’œuvre, enclaver par la méthode usitée, la langue dans la bouche de la lubrique nymphe. Les concurrens la tiennent par les mains, et forment une circonférence brakiale dans laquelle la femme est contenue.

Je ne conseille pas à ceux qui sont foibles du jarret d’essayer cette méthode, qui demande la plus grande force dans les muscles.

On doit la laisser pratiquer à ces hommes que la nature a doués d’un tempérament de fer, et ne pas se hasarder dans une entreprise au-delà des facultés communes.

Cette manière de foutre est de l’invention de deux porte-faix et d’une poissarde ; on doit juger par-là, combien elle est susceptible d’énergie.