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Les travaux d’Hercule, ou la rocambole de la fouterie/Les plaisirs du carnaval

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LES PLAISIRS DU CARNAVAL.

Treizième manière.

Je sortois de Venise où les plaisirs du carnaval m’a voient harassé. Une Laïs de Véronne me donne à coucher ; je trouve sous des formes ravissantes un levain de cet infernal poison qui nous parvint avec l’or du Mexique ; je bandois comme l’incestueux Œdipe, lorsqu’il rentra dans le sein dont il étoit sorti. Foutre, savez-vous bien que toutes les véroles du monde chrétien sont peu de chose, lorsque le nerf érecteur est excité par de jolis tétons.

C’est donc sur les tétons que je jette mon dévolu ; je vous renverse ma guenuche, et comprimant ses deux globes sur mon scrotum, je lui fous ma décharge dans sa gueule. Avis aux zélateurs du cul…te de Vénus. On ne gagne pas la chaude-pisse, en frottant sa couille sur les clavicules.