Les vies des plus excellents peintres, sculpteurs, et architectes/Daniello RICCIARELLI da VOLTERRA

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Traduction par Weiss, Charles (18...-19...; commandant).
DORBON-AINÉ (2p. 341-348).
Daniello RICCIARELLI da VOLTERRA
Peintre et sculpteur, né vers 1509, mort en 1566

Daniello, pendant son enfance, ayant appris quelque peu à dessiner sous la direction de Giovannantonio Sodoma, qui alla exécuter, à cette époque, quelques travaux ci Volterra, entra, après le départ de celui-ci, dans l’atelier de Baldassare Peruzzi, où ses progrès furent beaucoup plus grands et plus rapides ; mais, pour dire la vérité, il n’eut pas alors grande réussite, car autant il apportait d’application et de constance à l’étude, autant son esprit et sa main le servaient peu. Aussi reconnaît-on, dans les premières œuvres qu’il fit à Volterra, une grande difficulté d’exécution. Il peignit ainsi à fresque et en clair-obscur la façade de la maison de Messer Mario Maffei[1]. Lorsqu’il eut achevé ce travail, qui le mit en réputation et en crédit, il sentit la nécessité de s’éloigner de sa patrie, où il n’avait ni modèles antiques ou modernes à étudier, ni concurrents pour stimuler son activité, et résolut d’aller à Rome, où il avait appris que bien peu s’occupaient alors de peinture, Perino del Vaga excepté. Mais, avant de partir, il se dit qu’il fallait emporter quelque œuvre terminée qui le fit connaître ; aussi, ayant peint sur une toile et à l’huile un Christ battu à la colonne, avec beaucoup de figures, et y ayant mis toute l’application dont il était capable en se servant de modèles et de dessins faits d’après l’original, il remporta avec lui. Arrivé à Rome, il n’y fut pas depuis longtemps que, par l’entremise d’amis, il montra cette peinture au cardinal Trivulzi, qui non seulement l’acheta, mais encore consacra son affection à Daniello et l’envoya peu après travailler dans une maison de campagne appelée le Salone, qu’il avait élevée hors de Rome et qu’il faisait orner de fontaines, de stucs et de peintures par Giovan-Maria da Milano et autres. Stimulé par la concurrence des autres peintres qui y travaillaient, ou pour servir ce seigneur dont il pouvait espérer honneur et profit, Daniello peignit diverses choses dans des appartements et des loggias, en particulier des grotesques pleins de figures de femmes variées. Il réussit surtout une histoire de Phaéton, peinte à fresque et pleine de figures en grandeur naturelle, ainsi qu’un grand fleuve, qui est une excellente figure, en sorte que le cardinal, allant souvent voir ces œuvres, et emmenant avec lui tel ou tel cardinal, lui fit avoir de nombreuses et utiles amitiés.

Ferino del Vaga ayant besoin d’un jeune homme qui l’aidât à peindre, dans l’église della Trinità, la chapelle de Messer Agnolo de’ Massimi, attira près de lui Daniello, qui l’aida à faire quelques parties qu’il conduisit à fin avec grand soin. Avant le sac de Rome, Ferino avait représenté, à San Marcello, sur la voûte de la chapelle del Crocefisso, la Création d’Adam et d’Ève, en grandeur naturelle, et les deux Évangélistes saint Marc et saint Jean, beaucoup plus grands, mais ce dernier était resté inachevé de toute la partie supérieure. Lorsque la paix fut revenue à Rome, les membres de cette compagnie décidèrent que Perino terminerait cet ouvrage. Comme il avait autre chose à faire, il se contenta de dessiner un carton, d’après lequel Daniello termina le saint Jean ; en outre, Daniello peignit entièrement saint Luc et saint Mathieu, et, entre ces deux Évangélistes, deux petits enfants portant un candélabre, puis, sur l’arc surmontant la fenêtre, deux anges suspendus dans les airs et tenant en main les mystères de la Passion. Il orna richement l’arc de grotesques et de belles figures nues ; en somme, il montra un grand talent dans ce travail, bien qu’il y eût dépensé par trop de temps[2].

Perino ayant ensuite donné à faire à Daniello une frise dans une salle du palais de Messer Agnolo de’Massimi, avec de nombreux compartiments de stuc et divers sujets de l’histoire de Fabius Maximus, Daniello s’en tira si bien que la signora Elena Orsina, ayant vu cette œuvre et entendant louer le talent du peintre, lui donna à peindre sa chapelle, dans l’église della Trinità di Monte, où habitent les Frères de Saint-François de Paule[3]. Mettant tous ses efforts pour faire une œuvre remarquable qui le fit reconnaître pour excellent peintre, il n’hésita pas à y consacrer plusieurs années. Il y représenta donc plusieurs traits de la vie de sainte Hélène, et sur le tableau principal le Christ descendu de la croix par Joseph, Nicodème et les autres disciples, l’évanouissement de la Vierge tombée dans les bras de Madeleine et des autres Maries[4]. Outre la composition qui est extrêmement riche, le Christ est une excellente figure d’un beau raccourci, les pieds portant en avant et le reste du corps en arrière. Il en est de même des personnages qui, l’ayant décloué, le soutiennent avec des draps, en se tenant sur des échelles, et présentent quelques morceaux de nu remarquablement traités. Ces figures ont des raccourcis aussi beaux que difficiles. Autour de ce tableau, il fit un riche ornement varié de stucs et de deux figures qui portent sur leur tête le fronton ; tandis que d’une main elles soutiennent le chapiteau, de l’autre elles cherchent à y adapter la colonne. La fenêtre qui éclaire la chapelle est placée entre deux sibylles peintes à fresque qui sont les meilleures figures de toute l’œuvre ; la voûte est divisée en quatre compartiments, avec un ornement bizarre et varié de mascarons et de festons en stuc. Les quatre compartiments renferment l’histoire de la Croix et de sainte Hélène, mère de Constantin, à savoir : avant la Passion du Christ, la fabrication des trois Croix ; puis, sainte Hélène enjoignant à des Juifs d’indiquer le lieu où se trouvent les Croix ; sainte Hélène commandant de descendre au fond d’un puits un Juif qui refuse de le dire ; enfin, le même Juif montrant l’endroit où les trois croix sont enterrées. Sur les parois latérales sont représentés quatre autres sujets, deux de chaque côté, séparés par la corniche, à savoir : sainte Hélène faisant sortir d’un puits les trois croix ; la Croix du Sauveur guérissant un malade ; sainte Hélène reconnaissant la vraie Croix dont l’attouchement a ressuscité un mort ; enfin, l’empereur Héraclius, pieds nus et en chemise, portant la croix du Christ, devant laquelle des femmes, des hommes et des enfants agenouillés sont en adoration. Au-dessous, deux femmes peintes en clair-obscur paraissent soutenir ces peintures ; sous l’arc antérieur, on voit les deux figures grandes comme nature de saint Francois de Paule, fondateur de l’ordre qui possède cette église, et de saint Jérôme, habillé en cardinal. Toutes ces peintures, ainsi que le reste de l’ornementation, furent exécutées en sept ans ; elles dénotent un travail opiniâtre, mais aussi un manque de facilité, comme toute peinture traînée en longueur. Lorsque cette chapelle fut enfin livrée au public, elle fut extrêmement admirée et valut à son auteur la réputation d’un excellent maître.

Le cardinal Alexandre Farnèse lui fit ensuite peindre une frise dans une salle de son palais, sous un des riches plafonds exécutés sous la direction d’Antonio da San Gallo, avec une peinture sur chacune des parois[5]. Il y représenta un Triomphe de Bacchus, une Chasse et d’autres semblables sujets, dont le cardinal fut très satisfait ; il figura, en outre, dans la frise, en plusieurs endroits et sous divers aspects, une Licorne au giron d’une Vierge, emblème de cette illustre famille. Cet ouvrage fut cause que le cardinal, qui a toujours aimé les hommes de talent, le favorisa et aurait encore fait plus pour lui si Daniello n’avait pas été si lent dans son travail. Ce n’était d’ailleurs pas de sa faute, car tel l’avait doué la nature, et il préférait faire peu et bien, que beaucoup et moins bien.

L’an 1547, Ferino del Vaga étant mort et ayant laissé inachevée, dans le Vatican, la Salle des Rois, qui précède les chapelles Sixtine et Pauline, grâce à l’entremise d’amis et de seigneurs, particulièrement de Michel-Ange, Daniello reçut du pape Paul III la place de Ferino, avec le même traitement. Il devait peindre, dans cette salle, et dans des niches, les rois qui ont défendu l’Église apostolique, et sur les parois quelques épisodes de la vie de ces bienfaiteurs de l’Église, en sorte qu’il y aurait eu six niches et six panneaux. Mais il ne fit en tout que deux des rois, et commença un des panneaux, dont il ne peignit pas plus de deux brasses. Bien qu’il fût pressé par le cardinal Farnèse et par le pape, sans penser que la mort arrête souvent les projets des humains, il tira l’œuvre tellement en longueur, qu’à la mort du pape, en 1549, il n’y avait de fait que ce que nous venons de dire. Le conclave devant avoir lieu dans cette salle, il fallut jeter à terre tous les échafaudages qui l’encombraient, et livrer aux regards du public l’ouvrage de Daniello ; les stucs furent admirés comme ils le méritaient, mais les deux figures de rois n’eurent pas un égal succès, comme ne correspondant pas en bonté aux peintures della Trinità, et l’on estima que Daniello, avec une si bonne place et de pareils appointements, avait plutôt reculé qu’avancé[6].

Un nouveau pape ayant été ensuite élu en 1550, sous le nom de Jules III, Daniello se mit en avant et fit agir ses amis, pour conserver son traitement et continuer les peintures de cette salle ; mais le pape, qui n’en avait pas l’idée, éluda toujours la question. Daniello peignit alors dans une chapelle de l’église Sant’Agostino, sainte Hélène trouvant la vraie croix et, sur les côtés, dans deux niches, une sainte Cécile et une sainte Lucie[7] ; ces fresques furent peintes partie par lui, partie d’après ses dessins, par quelques-uns de ses élèves ; aussi n’ont-elles pas la même perfection que ses autres œuvres.

À la même époque, il fut chargé, par la signora Lucrezia della Rovere, de peindre, dans l’église della Trinità, une chapelle située en face de celle de la signora Elena Orsina. L’ornement en stuc est de lui, et il y fit peindre, d’après ses cartons, sur la voûte, plusieurs sujets de la Vie de la Vierge par Marco da Siena et Pellegrino da Bologna, tandis que l’Espagnol Bizzerra et Giovan Paolo Rossetti da Volterra peignaient, sur les parois, la Nativité de Marie et la Présentation du Christ à Siméon. Il fit encore exécuter par Rossetti, dans les arcs, l’Annonciation de la Vierge et le Nativité de Jésus. À l’extérieur, dans les angles, il plaça deux grandes figures, et plus bas, sur les pilastres, deux Prophètes. Sur la paroi de l’autel, il peignit de sa propre main la Vierge gravissant les degrés du temple, et, sur la paroi principale, l’Assomption de la Vierge avec les Apôtres dans le bas[8]. Faute d’espace suffisant pour tant de figures, et pour faire une nouveauté, il mit les Apôtres sur le même plan que l’autel de la chapelle, comme si cet autel eût été le sépulcre de la Vierge ; cette disposition fut approuvée par quelques-uns, mais le plus grand nombre la blâmèrent et avec raison. Enfin, sur la dernière paroi, il fit représenter, par le Florentin Michele Alberti, son élève, le Massacre des Innocents. Daniello passa quatorze années à peindre cette chapelle qui, certes, n’est pas supérieure à celle qu’il avait peinte autrefois pour la signora Orsina.

Monsignor Giovanni della Casa, Florentin et homme très savant, comme en témoignent ses écrits en latin et en langue vulgaire, ayant commencé un traité sur la peinture, et voulant être initié à quelques minuties du métier, fit faire par Daniello, avec tout le soin possible, un modèle en terre d’un David, puis il fit peindre ce David sur les deux faces d’un tableau, curieuse composition, qui appartient actuellement à Messer Annibale Ruccellai[9]. Pour le même Giovanni, il fit un Christ mort avec les Maries[10], puis, sur une toile, pour envoyer en France, Énée enlevant ses armes, pour se coucher avec Didon et arrêté par Mercure, comme on le voit dans l’Eneide. Pour le même, il fit, sur un autre panneau également peint à l’huile, un saint Jean pénitent en grandeur naturelle, qui fut toujours très estimé par ce seigneur pendant sa vie, et même un saint Jérôme, beau à merveille[11].

Lorsque Paul IV eut succédé à Jules III, le cardinal de Carpi insista auprès de Sa Sainteté pour que Daniello fût autorisé à terminer la Salle des Rois ; mais le nouveau pape, fort peu amateur de peinture, répondit qu’il valait mieux fortifier Rome que dépenser de l’argent en couleurs. Et, en effet, on se mit aussitôt à bâtir en travertin la grande porte du château Saint-Ange, d’après les dessins de Sallustio, fils de Baldassare Peruzzi de Sienne. Cette porte, assez semblable à un arc de triomphe, devait être ornée de cinq statues, hautes de quatre brasses et demie, placées dans des niches ; l’une de ces statues, celle de saint Michel[12], fut donnée à faire à Daniello. Il alla à Carrare choisir des marbres pour cette statue et pour d’autres, car il était décidé d’abandonner la peinture pour la sculpture, et en route il s’arrêta quelque temps à Florence, où Vasari le présenta au duc, et où il moula en plâtre presque toutes les statues laissées par Michel-Ange dans la nouvelle sacristie de San Lorenzo. Avant de retourner à Rome, comme il y avait longtemps qu’il n’avait été à Volterra, sa patrie, il s’y rendit et fut bien reçu par ses parents et ses amis qui le prièrent de laisser dans cet endroit quelque souvenir de lui. Il peignit alors un petit tableau du Massacre des Innocents, qui fut trouvé fort beau, et qu’il donna à l’église San Piero[13].

De retour à Rome, il y trouva que le pape Paul IV voulait jeter à terre le Jugement dernier de Michel-Ange, qui lui semblait renfermer des nudités par trop choquantes. Des cardinaux et quelques hommes de goût remontrèrent que ce serait un grand péché de détruire ce chef-d’œuvre, et firent en sorte que Daniello couvrit ces nudités avec de légères draperies. Il termina cette tâche sous le pontificat de Pie IV, en refaisant la sainte Catherine et le saint Blaise qui ne paraissaient pas suffisamment décents[14]. Il commença ensuite le saint Michel du château Saint-Ange, mais sans y travailler avec l’activité qu’il aurait pu et dû y mettre, en homme qui ne faisait qu’aller d’une pensée à l’autre.

Sur ces entrefaites[15], le roi Henri II de France, ayant été mortellement blessé dans un tournoi, le seigneur Ruberto Strozzi, envoyé par Catherine de Médicis, régente du royaume, vint à Rome avec mission de s’entendre avec Michel-Ange pour élever un monument à la mémoire du roi. Michel-Ange ne pouvant, à cause de son grand âge, se charger de cette entreprise, conseilla de la confier à Daniello, auquel il promettait de donner aide et conseil, dans la mesure du possible. Strozzi y consentit, et après de mûres réflexions sur le projet auquel on devait s’arrêter, il fut décidé que Daniello exécuterait tout d’un morceau un cheval en bronze, de vingt palmes de hauteur sur quarante palmes de longueur, qui serait surmonté de la statue du roi Henri armé, également en bronze. Daniello, ayant donc fait un modèle en terre, sur les conseils de Michel-Ange, et ce modèle ayant plu au seigneur Ruberto, celui-ci, après en avoir écrit en France, conclut avec lui un traité dans lequel furent stipulés le prix de la statue équestre et l’époque à laquelle elle devait être livrée. Daniello commença par modeler en terre le cheval, et quand il eut terminé son moule, il alla consulter divers fondeurs sur les meilleurs moyens à suivre pour faire réussir à la fonte cette statue. Au bout de quatre années de travail, Il était prêt à la fondre, lorsqu’il fut obligé d’attendre pendant de longs mois les ferrements et le métal que le seigneur Ruberto avait à lui fournir. Ces matériaux étant enfin arrivés, il enterra son moule entre deux fourneaux, dans un atelier qu’il avait à Montecavallo ; le métal coula d’abord parfaitement dans le moule, mais son poids ayant ensuite crevé le corps du cheval, toute la matière prit un autre chemin. Après s’être bien désolé de cet accident, Daniello trouva moyen d’y remédier. Deux mois plus tard, il recommença sa fonte qui, cette fois, réussit à merveille, et vint unie et égale sur tous les points. Il est étonnant que ce cheval, qui est d’un sixième plus grand que celui d’Antonin[16], au Capitole, ne pèse que vingt milliers. Les fatigues et les ennuis que Daniello éprouva pendant ce travail furent tels, qu’étant d’une complexion peu robuste et mélancolique, il lui survint peu après un catarrhe cruel qui, en deux jours, le conduisit au tombeau. Il aurait dû être joyeux, ayant surmonté des difficultés considérables, dans une coulée aussi importante, mais il sembla à tous qu’il ne se réjouirait plus jamais, quelque événement prospère qu’il lui arrivât. Il mourut le 4 avril 1566 et fut enterré, sur sa demande, dans la nouvelle église bâtie aux Thermes, pour les Chartreux, par le pape Pie IV. Il voulut aussi que l’on plaçât sur sa tombe la statue de l’ange qu’il avait autrefois commencée pour la porte du château Saint-Ange. Ses deux élèves, Michele degli Alberti, de Florence, et Feliciano da San Vito, de Rome, à qui il laissa toutes ses choses d’art, s’offrirent à l’ambassadeur de France pour achever le cheval et la statue du roi Henri II. Comme ils ont longtemps travaillé sous la direction de Daniello, on peut espérer d’eux de grandes choses. Daniello fut un homme de bien et de bonnes mœurs, tellement appliqué aux études de l’art qu’il négligea beaucoup trop ses intérêts ; son humeur mélancolique le portait à rechercher la solitude. Il mourut à l’âge de cinquante-sept ans.


  1. Cette peinture n’existe plus dans le palais Maffei, actuellement palais Leoncini. Via de’ Guidi.
  2. Les œuvres des deux peintres à San Marcello existent encore.
  3. Ces peintures existent encore.
  4. Transporté sur toile ; en mauvais état, peint en 1541.
  5. Ces frises existent encore.
  6. L’ornementation de cette salle existe encore.
  7. En mauvais état.
  8. Toutes ces fresques ont été fortement repeintes.
  9. Ce tableau double, peint sur ardoise, est au Musée du Louvre.
  10. Actuellement dans la galerie de Schleisheim, près Munich.
  11. Tableaux perdus.
  12. Elle fut placée sur le tombeau de Daniello, sur sa demande. Depuis elle a disparu.
  13. Actuellement aux Offices.
  14. Il en retira le surnom de Il Braghettone, le culottier.
  15. Juillet 1559.
  16. Lire : de Marc-Aurèle. Le cheval seul fut exécuté et servit pour une statue équestre de Louis XIII, érigée en 1639 sur la place Royale et détruite en 1793.