Les vies des plus excellents peintres, sculpteurs, et architectes/Le ROSSO

La bibliothèque libre.
Traduction par Weiss, Charles (18...-19...; commandant).
DORBON-AINÉ (2p. 206-213).
Le ROSSO
Peintre florentin, né en 1494, mort en 1541



Si le Rosso[1] peintre florentin, ne vit pas ses œuvres appréciées à Rome et à Florence par ceux qui pouvaient les payer leur prix, il obtint, en France, toute la gloire qu’un artiste quelconque puisse ambitionner. Il ne pouvait espérer plus grande faveur, ni plus grande considération, parce qu’il fut bien vu et jugé, par ce grand roi de France, supérieur à n’importe quel autre de son métier. Outre son talent comme peintre, il avait une belle tournure, une manière de parler agréable et sérieuse, il était bon musicien et avait de profondes connaissances en philosophie ; ce qui importe plus que ses autres grandes qualités, il fut toujours très inspiré dans la composition de ses figures, avec un dessin fier et ferme, une manière légère, pleine d’originalité et de hardiesse. En architecture, il fut excellent et original et quoique pauvre, il fut toujours riche d’esprit et de grandeur d’âme. Ceux qui, dans les difficultés de la peinture, arriveront au rang qu’il tint, seront toujours célèbres, comme le sont ses œuvres qui n’ont pas d’égales pour une certaine bravoure et sont exemptes de cette consomption qu’une infinité de peintres ne peuvent éviter, quand ils veulent faire paraître grandes des œuvres absolument nulles.

Dans sa jeunesse, il dessina d’après le carton de Michel-Ange, mais il ne voulut suivre les leçons que de très peu de maîtres, ayant de certaines opinions sur l’art contraires à leurs manières, comme on peut le voir dans un tabernacle peint à fresque, hors la Porta a San Pier Gattolini de Florence, à Marignolle, qu’il exécuta pour Piero Bartoli, et où il représenta un Christ mort[2]. Au-dessus de la porte de San Sebastiano de Servi, étant encore dépourvu de barbe, il peignit les armes de la famille Pucci, accompagnées de deux figures[3], à l’époque où Lorenzo Pucci fut créé cardinal par le pape Léon X[4] ; il réussit complètement dans cet ouvrage, ce qui étonna d’autant plus les artistes du temps qu’ils s’attendaient à le voir échouer, et ce qui l’encouragea à continuer.

Ayant fait pour Maestro Giacopo, frère des Servi, qui s’occupait de poésie, un tableau renfermant la Vierge et saint Jean l’évangéliste, à mi-corps, il se laissa déterminer par ce religieux à peindre dans la cour du couvent, à côté de la Visitation peinte par Giacopo da Pontormo, une Assomption, dans laquelle on voit un ciel rempli de petits anges nus, qui dansent en couronne autour de la Vierge ; si le coloris de cette œuvre avait eu la maturité qu’il sut y mettre plus tard, elle aurait égalé, voire surpassé les fresques voisines[5].

Le directeur de l’Hôpital de Santa Maria Nuova lui avait commandé[6] un tableau[7] ; le voyant ébauché, cet homme qui n’entendait rien à l’art, prit tous les saints qui y étaient représentés pour autant de démons, car le Rosso avait l’habitude, dans ses ébauches à l’huile, de donner à ses figures un air cruel et désespéré, qu’il adoucissait ensuite peu à peu. Le directeur donc prit la fuite, et refusa le tableau, disant qu’on l’avait trompé. Le Rosso peignit aussi, audessus d’une autre porte qui donne dans le cloître du couvent des Servi, les armes du pape Léon, soutenues par deux enfants : cette peinture est aujourd’hui fortement endommagée. Chez plusieurs citoyens, on voit de lui des tableaux et de nombreux portraits. Lorsque le pape Léon X vint à Florence[8], le Rosso éleva un bel arc de triomphe, au Canto de’Bischeri. Puis il peignit pour le seigneur de Piombino un Christ mort[9], et il décora une petite chapelle ; pareillement à Volterra, il peignit une magnifique Descente de Croix[10], Son mérite et sa réputation s’étant accrus, on lui confia dans l’église de Santo Spirito, à Florence, le tableau des Dei[11]. Raphaël s’en était d’abord chargé, mais d’autres travaux le forcèrent à l’abandonner ; le Rosso exécuta cet ouvrage remarquable par la grâce et la beauté du dessin, et par la vivacité du coloris. Jamais aucune peinture n’a produit de loin un plus grand effet que celle-ci ; elle ne fut pas alors, appréciée comme elle le méritait : mais, avec le temps, on en reconnut toute la beauté, car il est impossible de faire mieux dans l’union des couleurs. Les dégradations de lumière sont si habilement ménagées, que les figures se font mutuellement ressortir ; en un mot, cette œuvre peut lutter avec celles des plus grands maîtres. À San Lorenzo, il peignit, pour Carlo Ginori, le tableau du Mariage de la Vierge[12], qui fut regardé comme une admirable chose. Pour Giovanni Bandini, il fit un tableau qui fut, je crois, envoyé en France, et dans lequel il avait représenté Moïse tuant l’Égyptien[13], on y voit des nus magnifiques. Un Jacob à la fontaine, que lui commanda Giavanni Cavalcanti, passa en Angleterre[14].

Le Rosso se rendit ensuite à Rome, où il était attendu avec impatience, et où l’on désirait voir de ses œuvres, car il s’y était fait connaître par quelques dessins admirables, étant donné qu’il dessinait avec un fini et une pureté remarquables. Il fit, dans l’église della Pace[15], au-dessus des peintures de Raphaël, le plus pitoyable de ses ouvrages. Je ne puis m’expliquer cela que par une sorte de fatalité, qui a atteint encore plusieurs autres maîtres. L’artiste qui change de pays, change en même temps tellement de nature, de facultés et d’habitudes, qu’on le prendrait souvent pour un autre, tant il se trouve étourdi et désorienté. C’est ce qui put arriver au Rosso, à cause de l’air de Rome, et pour avoir vu les œuvres étonnantes d’architecture et de sculpture qui y sont, ainsi que les peintures et les statues de Michel-Ange, qui forcèrent Fra Bartolommeo et Andrea del Sarto à fuir de Rome, sans y avoir rien produit. Du reste, quelle qu’en soit la cause, le Rosso ne fit jamais rien de si mauvais ; et, cela est d’autant plus frappant que son tableau se trouve en parallèle avec les œuvres de Raphaël d’Urbin.

À la même époque, il peignit, pour l’évêque Tornabuoni, son ami, un très beau Christ mort soutenu par deux anges, lequel tableau appartient aujourd’hui aux héritiers de Monsignor della Casa[16]. Il donna aussi à Baviera[17] les dessins de toutes les divinités païennes qui furent gravées par Jacopo Caraglio, et parmi lesquelles on remarque Saturne se changeant en cheval, et Pluton enlevant Proserpine. Il exécuta ensuite une ébauche de la Décollation de saint Jean-Baptiste, qui est aujourd’hui dans une petite église de la place Salviati, à Rome.

Sur ces entrefaites, arriva le sac de Rome. Le pauvre Rosso fut fait prisonnier par les Allemands, qui le traitèrent avec barbarie ; ils le dépouillèrent depuis les pieds jusqu’à la tête, le forcèrent de porter des fardeaux et de déménager presque toute la boutique d’un charcutier. Il parvint enfin à s’enfuira Pérouse, où il fut généreusement hébergé par un peintre nommé Domenico de Paris[18], qui lui fournit de quoi se vêtir ; en retour, le Rosso lui donna le carton d’un tableau des Mages, que l’on voit chez lui aujourd’hui, et que l’on regarde comme une très belle chose. Mais il ne resta pas longtemps à Pérouse ; ayant appris qu’au Borgo était arrivé l’évêque Tornabuoni[19], également échappé au sac de Rome, il le rejoignit, car il était son grand ami. Il y avait à ce moment-là au Borgo Raffaello dal Colle, peintre et élève de Jules Romain, que la confrérie des Battuti avait chargé d’exécuter, à peu de frais, un tableau dans l’église de Santa Croce[20]. Cet artiste eut la générosité d’abandonner son travail au Rosso, afin qu’il restât quelque chose de lui dans la ville ; la confrérie s’en fâcha, mais l’évêque arrangea la chose. Le tableau terminé lui acquit de la réputation et fut mis à Santa Croce ; c’est une déposition de Croix, exécutée avec beaucoup de soin et remarquable par je ne sais quoi de ténébreux dans les couleurs devant rendre l’éclipsé qui arriva au moment de la mort du Christ. Il alla ensuite exécuter de nombreuses peintures à Arezzo, et pendant ces travaux, il exhuma, dans l’évêché d’Arezzo, où il se trouvait, des cadavres d’après lesquels il fit de magnifiques études d’anatomie. Il approfondissait sans cesse les connaissances de son art, et peu de jours se passaient sans qu’il dessinât le nu d’après nature.

Il avait toujours désiré finir ses jours en France, pour s’arracher, comme il le disait, à la misère et à la pauvreté, dans laquelle se traînent les artistes en Toscane et, en général, dans le pays où ils sont nés. Il résolut donc de partir. Pour avoir plus de facilité en toute chose et paraître universel, il se mit à apprendre la langue latine, lorsqu’un événement vint tout à coup précipiter son départ. Le jeudi-saint, pendant l’office des ténèbres, un jeune enfant d’Arezzo, son élève, se trouvait dans l’église, et, comme il secouait les flammèches d’une torche de résine allumée, il fut réprimandé et quelque peu frappé par des prêtres. Le Rosso, qui était assis près de cet enfant, s’en étant aperçu, se leva furieux et en vint aux mains avec l’un des prêtres. Alors grande rumeur, personne ne sachant de quoi il s’agissait, des épées furent tirées contre le pauvre Rosso, qui prit la fuite et se retira adroitement de la bagarre sans avoir été blessé ; mais s’estimant offensé, sans s’embarrasser de travaux commencés à Arezzo, pour lesquels il avait reçu plus de 150 écus d’or, il partit pendant la nuit et se rendit, par la route de Pesaro, à Venise. Il fut retenu dans cette ville par Messer Pietro Aretino, pour lequel il dessina Mars endormi à côté de Vénus, et dépouillé de ses armes par les Grâces et l’Amour ; ce sujet fut gravé ensuite[21].

De Venise, le Rosso passa en France[22], où il fut reçu avec force caresses par les gens de la nation florentine. Ayant peint plusieurs tableaux, il les donna au roi François 1er, à qui ils plurent beaucoup, et qui les fit placer dans la galerie de Fontainebleau. Mais le roi apprécia surtout la tournure et la manière du Rosso, qui était grand de sa personne, roux de barbe et de cheveux, comme son nom l’indique, et qui se comportait dans toutes ses actions avec gravité et jugement. Il lui donna aussitôt une pension de quatre cents écus et une maison à Paris, que le Rosso habita peu, car il demeura le plus souvent à Fontainebleau, où il avait un logement et où il vivait en grand seigneur. Il fut bientôt nommé surintendant des bâtiments[23], des peintures et de tous les embellissements du château, et construisit d’abord une galerie au-dessus de la basse-cour, qui ne fut pas voûtée, mais reçut un plafond richement orné. Il fit exécuter ensuite, d’après ses dessins, si l’on m’a dit la vérité, vingt-quatre sujets à fresque tirés, je crois, de l’histoire d’Alexandre le Grand[24]. Aux deux extrémités de cette galerie, on voit deux tableaux à l’huile, dessinés et peints de sa propre main, avec tant de perfection qu’il serait difficile de voir rien de mieux[25] ; dans l’un de ces tableaux, il a représenté Bacchus et Vénus. L’autre tableau renferme un Cupidon, une Vénus et plusieurs belles figures ; mais le Rosso s’appliqua surtout à celle de Cupidon. Le roi, enchanté de ces travaux, le prit en grande affection, et, peu de temps après, lui donna un canonicat de la Sainte-Chapelle de Paris, en y joignant des rentes et d’autres avantages ; aussi le Rosso vivait-il en seigneur comme nous l’avons déjà dit. Il avait à son service un grand nombre de domestiques et de chevaux, tenait table ouverte et se montrait très généreux avec tous ses amis et surtout avec ses compatriotes. Il peignit encore une autre salle, appelée le Pavillon, où il mit de riches ornements de stuc, des figures en ronde-bosse, des festons et toutes sortes d’animaux. Il y peignit aussi ci fresque toutes les divinités antiques, qu’il représenta assises. Enfin, dans plusieurs autres salles, il exécuta également quantité de peintures et d’ouvrages en stuc, très remarquables, dont une partie a été gravée[26]. Il donna aussi des dessins d’orfèvrerie qu’il serait trop long de détailler ; qu’il suffise de dire qu’il composa un buffet complet pour le roi, et des caparaçons pour couvrir les chevaux de la cour dans les mascarades, les fêtes et les triomphes. L’an 1540, lorsque l’empereur Charles-Quint vint en France, se fiant à la bonne foi du roi, le Rosso et le Primaticcio de Bologne furent chargés de la conduite de toutes les décorations qu’ordonna François Ier pour recevoir un si grand empereur. Une partie des chambres qu’avaient élevées le Rosso à Fontainebleau furent détruites après sa mort par le Primaticcio, qui a fait dans cet endroit de nouvelles et plus grandes constructions[27].

Les artistes suivants travaillèrent avec le Rosso, en stuc et en relief, et furent aimés de lui plus que tous les autres : Lorenzo Naldino, Florentin, maître François d’Orléans, maître Simon de Paris, maître Claude, également de Paris, maître Laurent de Picardie et plusieurs autres. Le meilleur de tous fut Domenico del Barbieri, qui est peintre et excellent maître en stuc, de même que dessinateur unique, comme le montrent ses œuvres qui ont été gravées. Pareillement, les peintres qu’il employa dans les travaux de Fontainebleau furent : Luca Penni, frère de Giovan Francesco di Il Fattore, qui fut élève de Raphaël ; Léonard de Flandre, peintre de talent, qui exécutait parfaitement en couleurs les dessins du Rosso ; Bartolomeo Miniati, Florentin ; Francesco Caccianimici et Giovambattista da Bagnacavallo. Ces derniers le servirent pendant que Francesco Primaticcio alla, sur l’ordre du roi, à Rome, pour faire reproduire en bronze le Laocoon, l’Apollon et plusieurs autres antiques remarquables. Je passe sous silence les sculpteurs, les maîtres en bois et quantité d’autres, dont le Rosso se servit dans ces travaux, parce qu’il n’est pas nécessaire de parler de tous, bien que plusieurs d’entre eux aient produit des œuvres dignes d’éloges.

Le Rosso fit ensuite, de sa propre main, un saint Michel qui est admirable, et, pour le connétable de Montmorency, un Christ mort, d’une grande beauté, que l’on voit au château d’Ecouen. Puis il s’occupa d’un recueil d’anatomie qu’il voulut faire graver en France. Par toutes ces œuvres, il s’était rendu si cher au roi que, peu avant sa mort, il se trouva avoir plus de mille écus de rente, sans comprendre les appointements de sa charge qui étaient considérables. De manière qu’il ne vivait plus en peintre, mais en prince, ayant un grand nombre de domestiques, de chevaux, une maison pleine de tapisseries, d’argenterie et de meubles de prix. Mais la fortune, qui ne sourit jamais longtemps à celui qui se fie trop à elle, le fit mal finir, de la plus étrange façon. Tandis qu’un peintre florentin, nommé Francesco di Pellegrino, qui était de ses amis, travaillait avec lui dans son intimité, quelques centaines d’écus furent volés au Rosso, qui, ne soupçonnant personne d’autre que Pellegrino, le fit saisir par la justice et mettre à la question. Pellegrino, reconnu innocent, fut mis en liberté et, justement indigné de la lâche accusation de son ancien ami, lança contre lui un libelle où il le maltraitait si fort que le Rosso se vit perdu d’honneur. Il sentit qu’il ne pouvait ni se dédire, ni poursuivre ces accusations, et que l’un ou l’autre de ces partis le couvrirait également d’infamie : alors il résolut de se donner la mort. Un jour que le roi était a Fontainebleau, le Rosso envoya chercher à Paris, par un paysan, des liquides empoisonnés, sous prétexte qu’il en avait besoin pour composer des couleurs ou des vernis. Il mit aussitôt fin à ses jours à l’aide de ce poison, dont les effets étaient si violents, que le paysan, en l’apportant, manqua perdre un doigt, pour l’avoir placé, un instant, sur l’ouverture de la fiole, quoi qu’elle fût bouchée soigneusement avec de la cire. Le roi François Ier fut vivement affligé de la perte de l’artiste qu’il estimait le plus ; mais pour que ses travaux n’en souffrissent point, il en confia la direction à Francesco Primaticcio de Bologne, auquel il donna une bonne abbaye, de même qu’il avait gratifié le Rosso d’un canonicat.

Le Rosso mourut l’an 1541[28], laissant à ses amis et aux artistes de profonds regrets et leur apprenant combien on gagne auprès d’un prince comme François Ier, qui était universel, affable et courtois dans toutes ses actions. Il a mérité et mérite encore, à beaucoup de titres, d’être admiré et d’être regardé comme un souverain vraiment excellent.



  1. Giovambattista, fils de Jacopo di Guasparre. Né, d’après le Livre des baptêmes de Florence, le 8 mars 1494, immatriculé à l’Art le 26 février 1516.
  2. N’existe plus.
  3. Peinture détruite, qui fut payée cinq écus.
  4. Le 23 septembre 1513.
  5. Existent encore.
  6. Le 30 janvier 1518.
  7. Destiné à être placé à Ognissanti ; c’est une Vierge, actuellement aux Offices.
  8. Le 14 novembre 1512.
  9. C’est peut-être celui du musée du Louvre.
  10. Dans le Dôme, chapelle de Saint-Charles.
  11. Une Madone, actuellement au Palais Pitti ; remplacée dans l’église par une copie faite par Francesco Petrucci.
  12. Deuxième chapelle adroite.
  13. Aux Offices.
  14. Tableau perdu.
  15. La chapelle d’Angelo Cesi, à côté de celle d’Agostino Chigi, fut commandée au Rosso le 26 avril 1524.
  16. Tableau perdu.
  17. Voir la vie de Raphaël.
  18. Domenico di Paris Alfani.
  19. Nommé a cet évêché en 1524 ; mort en 1539.
  20. Lire Santa Chiara ; le tableau est perdu ; il en reste une copie au Dôme.
  21. Ce tableau n’existe plus, mais le dessin est au Louvre.
  22. Vers 1530. Il apparaît pour la première fois dans les comptes royaux en 1532, avec le titre de peintre ordinaire du roi et une provision mensuelle de 14 livres tournois.
  23. En 1535. Son nom disparaît des comptes royaux en 1540.
  24. Existent encore, mais entièrement repeints, au XIXe siècle, par Abel de Pujol.
  25. Ces deux tableaux sont perdus.
  26. Il reste de lui quelques fresques mythologiques sous le portique de la Porte Dorée (restaurées par Picot, sous le règne de Louis-Philippe) et les treize peintures de la vie de François Ier, dans la galerie du même nom. La salle du Pavillon n’existe plus.
  27. Pareil sort arriva à quantité de constructions et de peintures du Primaticcio.
  28. À 47 ans.