Lettre 230, 1671 (Sévigné)

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230. — DE MADAME DE SÉVIGNÉ À MADAME ET À MONSIEUR DE GRIGNAN.

À Paris, mercredi 23e décembre.

Je vous écris par provision, ma bonne, parce que je veux causer avec vous. Un moment après que j’eus envoyé mon paquet le jour que j’arrivai, le petit Dubois m’apporta celui que je croyois égaré : vous pouvez penser avec quelle joie je le reçus. Je n’y pus faire réponse, parce que Mme de la Fayette, Mme de Saint-Géran, Mme de Villars, me vinrent embrasser. Vous avez tous les étonnements que doit donner un malheur comme celui de M. de Lauzun[1] ; toutes vos réflexions sont justes et naturelles, tous ceux qui ont de l’esprit les ont faites ; mais on commence à n’y plus penser : voici un bon pays pour oublier les malheureux. On a su qu’il avoit fait son voyage dans un si grand désespoir, qu’on ne le quittoit pas d’un moment. On le voulut faire descendre de carrosse dans un endroit dangereux ; il répondit : « Ces malheurs-là ne sont pas faits pour moi. » Il dit qu’il est très-innocent à l’égard du Roi ; mais que son crime est d’avoir des ennemis trop puissants. Le Roi n’a rien dit, et ce silence déclare assez la qualité de son crime. Il crut que l’on le laisseroit à Pierre-Encise[2], et commençoit à Lyon à faire ses compliments à M. d’Artagnan[3] ; mais quand il sut qu’on le menoit à Pignerol, il soupira, et dit : « Je suis perdu. » On avoit grand’pitié de sa disgrâce dans les villes où il passoit. Pour vous dire le vrai, elle est extrême.

Le Roi envoya querir le lendemain M. de Marsillac, et lui dit : « Je vous donne le gouvernement de Berri qu’avoit Lauzun. » Marsillac répondit : « Sire, Votre Majesté, qui sait mieux les règles de l’honneur que personne du monde, se souvienne, s’il lui plaît, que je n’étois pas ami de M. de Lauzun ; qu’elle ait la bonté de se mettre un moment en ma place, et qu’elle juge si je dois accepter la grâce qu’elle me fait. » Le Roi lui dit : « Vous êtes trop scrupuleux, Monsieur le prince : j’en sais autant qu’un autre là-dessus ; mais vous n’en devez faire aucune difficulté. — Sire, puisque Votre Majesté l’approuve, je me jette à ses pieds pour la remercier. — Mais, dit le Roi, je vous ai donné une pension de douze mille francs, en attendant que vous eussiez quelque chose de mieux. — Oui, Sire, je la remets entre vos mains. — Et moi, dit le Roi, je vous la redonne encore une fois, et je m’en vais vous faire honneur de vos beaux sentiments. » En disant cela, il se tourna vers les ministres, leur conta les scrupules de M. de Marsillac, et dit : « J’admire la différence ; jamais Lauzun n’avoit daigné me remercier du gouvernement de Berri ; il n’en avoit pas pris les provisions ; et voilà un homme comblé de reconnoissance. » Tout ceci est extrêmement vrai ; M. de la Rochefoucauld me le vient de conter. J’ai cru que vous ne haïriez pas ces détails ; si je me trompois, ma bonne, mandez-le moi. Le pauvre homme est très-mal de sa goutte, et bien pis que les autres années : il m’a bien parlé de vous, et vous aime toujours comme sa fille. Le prince de Marsillac[4] m’est venu voir, et l’on me parle toujours de ma chère enfant. J’ai enfin pris courage ; j’ai causé deux heures avec M. de Coulanges ; je ne le puis quitter : c’est un grand bonheur que le hasard m’ait fait loger chez lui.

Je ne sais si vous aurez su que Villarceaux, parlant au Roi d’une charge pour son fils, prit habilement l’occasion de lui dire qu’il y avoit des gens qui se mêloient de dire à sa nièce[5] que Sa Majesté avoit quelque dessein pour elle ; que si cela étoit, il le supplioit de se servir de lui ; que l’affaire seroit mieux entre ses mains que dans celles des autres, et qu’il s’y emploieroit avec succès. Le Roi se mit à rire, et dit : « Villarceaux, nous sommes trop vieux, vous et moi, pour attaquer des damoiselles de quinze ans ; » et, comme un galant homme, se moque de lui, et conta ce discours chez les dames. Ce sont des vérités que tout ceci. Les Anges sont enragées, et ne veulent plus voir leur oncle, qui, de son côté, est fort honteux. Il n’y a nul chiffre à tout ceci ; mais je trouve que le Roi fait partout un si bon personnage, qu’il n’est point besoin de mystère quand on en parle.

On a trouvé, dit-on, mille belles merveilles dans les cassettes de M, de Lauzun[6] ; des portraits sans compte et sans nombre, des nudités, une sans tête, une autre les yeux crevés (c’est votre voisine[7]) : des cheveux grands et petits, des étiquettes pour éviter la confusion : à l’un grison d’une telle, à l’autre mousson de la mère, à l’autre blondin pris en bon lieu, ainsi mille gentillesses[8] : mais je n’en voudrois pas jurer, car vous savez comme on invente dans ces occasions.

J’ai vu M. de Mesmes[9], qui enfin a perdu sa chère femme. Il a pleuré et sangloté en me voyant ; et moi, je n’ai jamais pu retenir mes larmes. Toute la France a visité cette maison ; je vous conseille d’y faire des compliments ; vous le devez par le souvenir de Livry que vous aimez encore.

J’ai reçu votre lettre du 13e ; c’est au bout de sept jours présentement. En vérité, je tremble de penser qu’un enfant de trois semaines ait eu la fièvre et la petite vérole. C’est la chose du monde la plus extraordinaire. Mon Dieu ! d’où vient cette chaleur extrême dans ce petit corps ? Ne vous a-t-on rien dit du chocolat ? Je n’ai point le cœur content là-dessus. Je suis en peine de ce petit dauphin ; je l’aime, et comme je sais que vous l’aimez, j’y suis fortement attachée. Vous sentez donc l’amour maternelle ; j’en suis fort aise. Eh bien ! moquez-vous présentement des craintes, des inquiétudes, des prévoyances, des tendresses, qui mettent le cœur en presse, du trouble que cela jette sur toute la vie ; vous ne serez plus étonnée de tous mes sentiments. J’ai cette obligation à cette petite créature. Je fais bien prier Dieu pour lui, et n’en suis pas moins en peine que vous. J’attends de ses nouvelles avec impatience ; je n’ai pas huit jours à attendre ici comme aux Rochers. Voilà le plus grand agrément que je trouve ici ; car enfin, ma bonne, de bonne foi, vous m’êtes toutes choses, et vos lettres que je reçois deux fois la semaine font mon unique et sensible consolation en votre absence. Elles sont agréables, elles me sont chères, elles me plaisent. Je les relis aussi bien que vous faites les miennes ; mais comme je suis une pleureuse, je ne puis pas seulement approcher des premières lignes[10] sans pleurer du fond de mon cœur.

Est-il possible que les miennes vous soient agréables au point que vous me le dites ? Je ne les trouve point telles au sortir de mes mains ; je crois qu’elles deviennent ainsi quand elles ont passé par les vôtres : enfin, ma bonne, c’est un grand bonheur que vous les aimiez ; car, de la manière dont vous en êtes accablée, vous seriez fort à plaindre si cela étoit autrement. M. de Coulanges est bien en peine de savoir laquelle de vos Madames y prend goût : nous trouvons que c’est un bon signe pour elle ; car mon style est si négligé qu’il faut avoir un esprit naturel et du monde pour s’en pouvoir accommoder.

Je vous prie, ma bonne, ne vous fiez point aux deux lits ; c’est un sujet de tentation : faites coucher quelqu’un dans votre chambre. Sérieusement, ayez pitié de vous, de votre santé, et de la mienne.


Et vous, Monsieur le Comte, je verrai bien si vous me voulez en Provence : ne faites point de méchantes plaisanteries là-dessus. Ma fille n’est point éveillée, je vous réponds d’elle ; et pour vous, ne cherchez point noise. Songez aux affaires de votre province, ou bien je serai persuadée que je ne suis point votre bonne, et que vous voulez avoir la fin de la mère et de la fille.

Je reviens à vos affaires. C’est une cruelle chose que l’affaire du Roi soit si difficile à conclure. N’avez-vous point envoyé ici ? Si l’on vouloit vous remettre cinquante mille francs, comme à nous cent mille écus[11], vous auriez bientôt fini. Ce seroit un grand chagrin pour vous, si vous étiez obligé de finir l’Assemblée sans rien conclure : et vos propres affaires, je ne vois pas qu’il en soit nulle question. J’ai envoyé prier l’abbé de Grignan[12] de me venir voir, parce que Monsieur d’Uzès est un peu malade. Je voulois lui dire les dispositions où l’on est ici touchant la Provence et les Provençaux : on ne peut écrire tout ce que nous avons dit. Nous tâchons de ne pas laisser ignorer de quelle manière vous vous appliquez à servir le Roi dans la place où vous êtes ; je voudrois bien vous pouvoir servir dans celle où je suis. Donnez-m’en les moyens, ou pour mieux dire, souhaitez que j’aie autant de pouvoir que de bonne volonté. Adieu, Monsieur le Comte.


Je reviens à vous, Madame la Comtesse, pour vous dire que j’ai envoyé querir Pecquet pour discourir de la petite vérole de ce petit enfant : il en est épouvanté ; mais il admire sa force d’avoir pu chasser ce venin, et croit qu’il vivra cent ans après avoir si bien commencé.

Enfin j’ai parlé quinze ou seize heures à M. de Coulanges ! Je ne crois pas qu’on puisse parler à d’autres qu’à lui :

Çà, courage ! mon cœur, point de foiblesse humaine[13] ;

et en me fortifiant ainsi, j’ai passé par-dessus mes premières foiblesses. Mais Catau[14] m’a mise encore une fois en déroute ; elle entra, il me sembla qu’elle me devoit dire : « Madame, Madame vous donne le bonjour, elle vous prie de la venir voir. » Elle me reparla de tout votre voyage ; que quelquefois vous vous souveniez de moi. Je fus une heure assez impertinente. Je m’amuse à votre fille ; vous n’en faites pas grand cas, mais croyez-moi, nous vous le rendons bien : on m’embrasse, on me connoît, on me rit, on m’appelle. Je suis Maman tout court ; et de celle de Provence, pas un mot.

J’ai reçu mille visites de tous vos amis et les miens, cela fait une assez grande troupe. L’abbé Têtu a du temps de reste, à cause de l’hôtel de Richelieu qu’il n’a plus[15] ; de sorte que nous en profitons. Mme de Soubise est grosse de quatre enfants, à voir son ventre.


Je reçois votre lettre du 16e. Je ne me tairai pas des merveilles que fait M. de Grignan pour le service de Sa Majesté ; je l’avois déjà fait aux occasions, et le ferai encore. Je verrai demain M. le Camus ; il m’est venu chercher, le seul moment que je fus chez M. de Mesmes. À propos, ma bonne, il ne faut pas seulement lui écrire, mais à Mme d’Avaux pour elle et son mari, et à d’Irval[16], sur peine de la vie : les compliments ne suffisent pas en ces occasions. J’ai vu ce matin le Chevalier[17] : Dieu sait de quoi nous avons parlé. J’attends Rippert avec impatience. Je serai ravie que les affaires de votre Assemblée soient finies ; mais où irez-vous achever l’hiver ? On dit que la petite vérole est partout : voilà de quoi me troubler. Vous faites un beau compliment à votre fille.

Au reste, le Roi part le 5e de janvier pour Châlons, et plusieurs autres tours, quelques revues en chemin faisant. Le voyage sera de douze jours ; mais les officiers et les troupes iront plus loin. Pour moi, je soupçonne encore quelque expédition comme celle de la Franche-Comté. Vous savez que le Roi est un héros de toutes les saisons[18]. Les pauvres courtisans sont désolés ; ils n’ont pas un sou. Brancas me demandoit hier sérieusement si je ne voudrois point prêter sur gages, et m’assura qu’il n’en parleroit point, et qu’il aimoit mieux avoir affaire à moi qu’à un autre. La Trousse[19] me prie de lui apprendre quelques-uns des secrets de Pomenars pour subsister honnêtement. Enfin, ils sont abîmés. Je la suis de la nouvelle que vous me mandez de M. Deville : quoi Deville ! quoi sa femme ! Les cornes me viennent à la tête, et pourtant je crois que vous avez raison[20]. Voilà une lettre de Trochanire, songez à la réponse.

Voilà Châtillon[21] que j’exhorte de vous faire un impromptu sur-le-champ. Il me demande huit jours, et je l’assure déjà qu’il ne sera que réchauffé, et qu’il le tirera du fond de cette gibecière que vous connoissez. Adieu, ma divine bonne, il y a raison partout ; cette lettre est devenue un juste volume. J’embrasse le laborieux Grignan, le Seigneur Corbeau, le présomptueux Adhémar, et le fortuné Louis de Provence, sur qui tous les astrologues disent que les Fées ont soufflé. E con questo mi raccomando[22].


Et pour inscription : Livre dédié a Madame la comtesse de Grignan, mère de mon petit-fils[23].


  1. Lettre 230 (revue sur une ancienne copie). — 1. Voyez la note 5 de la lettre 224.
  2. 2. Ou Pierre-en-Scise, ancien château qui servait de prison d’État. Il était situé sur un roclier qui dominait la rive droite de la Saône à Lyon. On l’a démoli en 1793.
  3. 3. Voyez la note 3 de la lettre 56.
  4. 4. Dans le manuscrit : « le duc de Marsillac. » Voyez p. 348.
  5. 5. Louise-Élisabeth Rouxel, connue depuis sous le nom de Mme de Grancey, lorsqu’elle fut dame d’atour de Marie-Louise d’Orléans, reine d’Espagne. Elle étoit sœur cadette (sœur aînée d’après Saint-Simon) de Marie-Louise Rouxel, comtesse de Marey. On les appeloit les Anges. (Note de Perrin,) — Voyez la lettre du 6 avril 1672. — Louis de Mornay, marquis de Villarceaux (l’amant de Ninon, l’adorateur de Mme Scarron), était frère de la maréchale de Grancey, mère des Anges Né en 1619, il mourut en 1691. Il fut capitaine-lieutenant des chevau-légers du Dauphin.
  6. 6. Voyez les Mémoires de Mademoiselle, t. IV, p. 323 et suivante. — Dans Le manuscrit il y a « mille belles nouvelles, » au lieu de : « mille belles merveilles. »
  7. 7. Mme de M… (Note de 1734, non reproduite par Perrin dans l’édition de 1754.) — Cette initiale désigne Mme de Monaco (voyez la note 15 de la lettre 153), dont Lauzun avait été fort amoureux. Il ne lui pardonna pas ses complaisances pour le Roi. On peut voir dans Saint-Simon (tome XX, p. 45) le tour que Lauzun joua aux deux amants. Voyez aussi la lettre du 6 janvier suivant.
  8. 8. Nous avons suivi le texte du manuscrit. Dans les éditions de 1725 et de 1726, il n’y a qu’une seule différence : mouton au lieu de mousson.
  9. 9. Le président Jean-Antoine de Mesmes. Il avait épousé Anne Courtin, fille de François Courtin, seigneur de Brusselles, etc., maître des requêtes, et de Jeanne Lescalopier. — Mme d’Avaux, sa belle-fille, dont il est parlé un peu plus bas (p. 444), était Marguerite, fille de Macé Bertrand de la Bazinière, prévôt et grand maître des cérémonies de l’ordre du Saint-Esprit, et de Françoise de Barbezières Chemerault. Elle mourut moins d’un an après son mari (1688). Voyez la note 9 de la lettre 143 et la note 19 de la lettre 132.
  10. 10. C’est le texte de l’édition de la Haye. Dans le manuscrit, il y a seulement des premières.
  11. 11. Voyez la lettre du 19 août précédent, p. 327, et la Notice, p. 130.
  12. 12. Louis-Joseph Adhémar de Monteil de Grignan, le bel abbé, le plus beau des prélats, frère cadet du comte de Grignan. Il fut abbé de Saint-Hilaire de Carcassonne, et en 1675 agent général du clergé de France ; le 23 février 1680 il fut nommé évêque d’Évreux, et, avant d’avoir été canoniquement institué, transféré à Carcassonne, au mois de mai 1681 ; la cérémonie de son sacre eut lieu le 21 décembre 1681 dans la collégiale de Grignan, où avait été sacré de même, cinquante-deux ans auparavant, l’archevêque d’Arles, son oncle. Il mourut, le dernier des Grignan, à soixante-dix-huit ans, le 1er  mars 1722. Voyez la Notice, p. 105,176,313. — Il se préparait, à la date de cette lettre, à soutenir son acte en Sorbonne : voyez la lettre du 30 mars 1672.
  13. 13. Orgon, dans le Tartuffe (acte IV, scène iii), se fortifiant lui-même contre les supplications de Marianne, s’écrie :

    Allons, ferme, mon cœur ! point de foiblesse humaine.

  14. 14. Femme de chambre de Mme de Grignan, dont il a été parlé dans les lettres des 28 juin et 5 juillet 1671. — Dans le manuscrit, au lieu de Catau, on lit Satan.
  15. 15. « L’abbé Têtu, intime ami de Mme de Richelieu, dominoit à l’hôtel de Richelieu, et s’en croyoit le Voiture. C’étoit un homme plein de son propre mérite, d’un savoir médiocre, et d’un caractère à ne pas aimer la contradiction : aussi ne goûtoit-il pas le commerce des hommes ; il aimoit mieux briller seul au milieu d’un cercle de dames, auxquelles il imposoit, ou qu’il flattoit plus ou moins, selon qu’elles lui plaisoient. » (Souvenirs de Mme de Caylus, tome LXVI, p. 414 et suivante.)
  16. 16. Voyez la note 19 de la lettre 132 et la note 9 de la lettre 143.
  17. 17. Le chevalier de Grignan (le chevalier de Malte).
  18. 18. C’est la pensée d’un madrigal de Mlle de Scudéry. (Note de Perrin, 1754.)
  19. 19. Voyez la note 6 de la lettre 39.
  20. 20. Voyez la lettre suivante, p. 447.
  21. 21. Probablement Alexis-Henri, chevalier de Chàtillon, capitaine des gardes du corps de Monsieur en 1674, puis premier gentilhomme de sa chambre et chevalier de l’Ordre. Sur ce favori de Monsieur, « qui n’avoit ni pain, ni sens, ni esprit… qui avoit fait sa fortune par sa figure… qui étoit singulièrement belle, » voyez Saint-Simon, tome XIV, p. 299 ; tome III, p. 171 ; la Correspondance de Madame, tome I, p. 245 et suivante ; la fin de la lettre du 13 janvier 1672, et, vers la fin aussi, la lettre du 5 janvier 1674.
  22. 22. Formule italienne : Et avec cela, et là-dessus, je me recommande, je vous baise les mains.
  23. 23. C’est ainsi que se termine la lettre dans notre manuscrit. Est-ce la suscription ou un post-scriptum badin qui joue sur l’idée de volume exprimée un peu plus haut ?