L’Histoire de Jenni ou le Sage et l’Athée
Apparence
L’Histoire de Jenni ou le Sage et l’Athée
HISTOIRE DE JENNI
OU
L’ATHÉE ET LE SAGE
PAR M. SHERLOC
TRADUIT PAR M. DE LA CAILLE[1]
(1775)
523
Aventure d’un jeune Anglais nommé Jenni, écrite de la main de doña Las Nalgas
524
— II.
Suite des aventures du jeune Anglais Jenni, et de celles de monsieur son père, docteur en théologie, membre du parlement et de la Société royale
526
— III.
Précis de la controverse des Mais, entre M. Freind et don Inigo y Medroso y Comodios y Papalamiendo, bachelier de Salamanque
529
— IV.
Retour à Londres ; Jenni commence à se corrompre
535
— V.
On veut marier Jenni
539
— VI.
Aventure épouvantable
542
— VII.
Ce qui arriva en Amérique
545
— VIII.
Dialogue de Freind et de Birton sur l’athéisme
552
— IX.
Sur l’athéisme
558
— X.
Sur l’athéisme
568
— XI.
De l’athéisme
572
— XII.
Retour en Angleterre. Mariage de Jenni
575
- ↑ « Nous n’avons cru devoir faire aucune remarque sur cet ouvrage, par des raisons que devineront sans peine ceux qui connaissent le but que l’auteur avait en l’écrivant. » Ainsi s’exprime Condorcet dans l’édition de Kehl. L’Histoire de Jenni est dirigée contre les doctrines des encyclopédistes, doctrines propres à Condorcet lui-même.