Mémoires (Saint-Simon)/Tome 20/Table analytique/K

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K.


KERCADO, maréchal de camp, est tué devant Turin, V, 227, 248, 249.

KŒNIGSECK (le comte de), commandant de la Mirandole, est forcé de se rendre prisonnier de guerre avec 70 officiers et 400 soldats, V, 18 ; il vient à Paris avec le caractère d’ambassadeur de l’empereur, XIV, 192 ; prétend avoir découvert que le régent commence à changer de langage et ne lui parle plus avec la franchise et la vivacité qu’il lui a montrées, XVI, 124 ; est scandalisé du peu de joie que la cour fait paraître à la nouvelle de la conclusion de la paix entre l’empereur et le Turc, 223 ; fait une entrée magnifique ; se fait fort estimer par sa conduite, XVII, 52 ; est rappelé pour aller exercer la charge de grand maître de la princesse électorale de Saxe, 291.

KŒNIGSMARK (le comte de), donne de l’ombrage au duc d’Hanovre ; il est arrêté et jeté dans un four chaud : la duchesse d’Hanovre est renvoyée à son père, I, 242 ; XV, 157.

KURAKIN (le prince), ambassadeur de Russie en France, avertit le régent que le czar Pierre va venir voir le roi, XIV, 420 ; sa naissance ; son extérieur ; son caractère ; son alliance avec le czar, 421 ; son ambassade à Rome ; quel en avait été le motif, 423 ; quel en fut le résultat, 423 ; conférences avec Bentivoglio pendant le voyage du czar à Paris, XV, 11.