Ma confession/Chapitre 10
Albert Savine, (p. 160-173).
Je comprenais cela, mais cela ne me soulageait pas.
J’étais prêt à recevoir maintenant toute croyance, à la condition qu’elle n’exigerait pas de moi la négation directe de la raison, ce qui aurait été un mensonge. Et j’étudiai le bouddhisine et le mahométisme, d’après leurs livres, et surtout le christianisme par les livres Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/175 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/176 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/177 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/178 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/179 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/180 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/181 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/182 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/183 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/184 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/185 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/186 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/187