Livre:Tolstoï - Ma confession.djvu
Apparence
Titre | Ma confession |
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Auteur | Léon Tolstoï |
Traducteur | Zoria |
Maison d’édition | Albert Savine |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1887 |
Bibliothèque | Hathi Cat |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
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Préface | v |
I. — Croyances de jeunesse. — Scepticisme précoce. — L’athéisme au gymnase. — Mysticisme de Dimitri Tolstoï. — Comment on cesse de croire. — L’orthodoxie n’est point un garant de la vertu. — Histoire de S. — La foi dans le perfectionnement | 1 |
II. — Les passions de la jeunesse. — L’auteur commence à écrire. — Théories du milieu artiste sur la vie. — La vocation des artistes, êtres prépondérants, est d’instruire les hommes. — L’auteur se refuse à admettre cette foi. — Le vrai désir de ses apôtres est de recevoir le plus d’argent et de louanges possible | 15 |
III. — L’auteur voyage. — Sa foi dans le perfectionnement grandit au contact de la civilisation européenne. — Fragilité de cette confiance prouvée par la vue d’une exécution capitale à Paris. — Mort du frère de l’auteur. — L’auteur organise des écoles paysannes. — Nouveaux voyages à l’étranger. — Arbitrage, enseignement et journalisme. — Maladie morale. — Départ pour le désert. — Mariage. — Influence de la vie de famille. — L’auteur continue à écrire. — Crise. — La vie n’a plus de joies si on en ignore le pourquoi. — Moralement l’auteur ne peut plus vivre | 30 |
IV. — La vie est un non-sens. — Idée du suicide. — Le bonheur de l’auteur est cependant complet, sa santé parfaite. — La vie est une méchante plaisanterie jouée par quelqu’un. — Il n’y a rien, il n’y a rien eu, il n’y aura jamais rien dans la vie. — Fable orientale. — Impossibilité de ne pas penser. — Terreur de l’obscurité : la mort immédiate vaut mieux. | 48 |
V. — Recherches du secret de la vie. — Les sciences exactes. — Les sciences théoriques. — Arrêt du développement. — Les sciences ignorent la question de la vie. — À la recherche d’une théorie. — Néant de la philosophie. | 66 |
VI. — L’homme égaré. — Quel est le sens de la vie ? — Socrate. — Schopenhauer. — Salomon. — Bouddha. — L’Ecclésiaste et Çakia-Monni. — La mort vaut mieux que la vie dont il faut se défaire | 88 |
VII. — Les quatre issues : L’ignorance. — L’épicuréisme. — La force. — La faiblesse. — Ne pas comprendre que la vie est un non-sens. — Profiter de la vie telle qu’elle est sans penser à l’avenir. — Comprenant que la vie est un mal, se tuer. — Savoir que la vie est un mal et vivre malgre cela. — L’auteur se demande s’il y a encore quelque chose qu’il ne sait pas ou quelque erreur dans son raisonnement. | 115 |
VIII. — Où est l’erreur ? — L’auteur n’avait considéré que la vie factice des hommes de sa société. — Il croyait que la vie des masses n’était qu’une circonstance sans importance. — Les masses, loin de ne pas comprendre la question de la vie, la posent et la résolvent avec une clarté étonnante. — Mais leur réponse est basée sur une foi que n’a plus l’auteur. — Dilemme terrible | 132 |
IX. — L’erreur de l’auteur. Il a toujours répondu non et la question de la vie, mais à la question de sa vie. C’est la foi qui donne la possibilité de vivre. — Sans foi on ne peut pas vivre. — Dans les réponses fournies par la foi il y a une profonde sagesse humaine. | 142 |
X. — L’auteur étudie les religions. — Il fréquente les croyants et les théologiens. — L’auteur est effrayé de se sentir retourner au désespoir. — La vie d’aucun de ces hommes ne correspond à leurs principes. — La foi de ces gens n’est pas celle qu’il cherche. — Il se rapproche des croyants du peuple et des sectaires. — Ici il trouve une vraie foi. — L’auteur comprend qu’ils ont le sens de la vie. | 160 |
XI. — Tout s’éclaire. — Les hommes sont des fous. — Qu’a fait l’auteur pendant trente ans ? — Pour comprendre la volonté du Régulateur de l’univers, il faut l’exécuter. — Les savants et les simples. | 174 |
XII. — Il faut vivre non pas de la vie du parasite, mais de la vie véritable. — La recherche de Dieu. — Si Dieu, cause de toutes les causes, existe, on peut vivre. — Le problème demeure insoluble. — L’oiseau tombé du nid. — Il est cependant. — Aspirations à la vie. — Désespoirs. — La Barque. — Dieu, c’est le rivage. | 185 |
XIII. — La vie du monde est une parodie de la vie. — Pour comprendre la vie, il faut s’adresser à ceux qui la produisent et lui donnent un sens. — L’auteur accepte tous les rites liés à la foi. — Les raisons de sa conduite. — Raisonnements des théologiens russes. — Les réticences de la foi de l’auteur. | 202 |
XIV. — Le rituel incompris. — Ce que l’auteur rejetait de sa foi. — Les idées religieuses du peuple. — Lectures des Vies des Saints et des Martyrologes. | 216 |
XV. — L’auteur envie la simplicité des croyants du peuple. — L’orthodoxie. — Nouveaux problèmes. — L’Église orthodoxe et les autres Églises. — Les hommes des diverses fois se traitent mutuellement d’hérétiques. — L’auteur essaie de concilierles diverses communions chrétiennes. — Réponse d’un prêtre russe. — L’auteur renonce à l’orthodoxie. — L’Église orthodoxe et la guerre. | 226 |
XVI. — Il y a du mensonge dans la foi. —l’auteur étudie les Écritures. - Le fruit de ses études formera un livre : Ma Religion. | 242 |
Conclusion | 248 |