Ma confession/Chapitre 14

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Traduction par Zoria.
Albert Savine (p. 216-225).
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XIV


Il m’était devenu si indispensable de croire pour vivre que, sans m’en rendre compte, je me cachais à moi-même les contradictions et les obscurités de l’enseignement de la foi. Mais ma bonne volonté à trouver un sens aux cérémonies de l’Église avait une limite.

Si la prière liturgique devenait de plus en plus claire pour moi dans ses paroles principales, si je m’expliquais Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/231 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/232 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/233 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/234 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/235 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/236 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/237 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/238 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/239