Manuel d’Épictète (trad. Guyau)

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I
— Distinction entre ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 
 5
II
— Les choses qui ne dépendent pas de nous ne sont ni à désirer ni à craindre 
 7
III
— On doit examiner la nature de chaque objet dont on se sert 
 9
IV
— On doit examiner la nature de chaque action qu’on entreprend 
 10
V
— Ce qui seul peut nous troubler, ce sont nos opinions 
 11
VI
— Ce qui seul doit nous rendre fiers, c’est le bon usage que nous faisons de nos opinions. 
 12
VII
— Tout ce qui n’est pas nous ne doit être pour nous qu’un accessoire 
 13
VIII
— Savoir céder à la nécessité, c’est être libre. 
 14
IX
— L’homme ne peut rencontrer d’autre obstacle que lui-même 
 15
X
— À chaque idée ou image qui nous vient du dehors, correspond en nous une faculté capable d’en faire usage 
 15
XI
— Perdre et rendre 
 16
XII
— Le renoncement à toutes les choses extérieures est le prix dont s’achète le bonheur. 
 16
XIII
— Paraître et être 
 17


XIV
— On peut devenir indépendant de tout homme en devenant maître de ses désirs sur toutes choses 
 18
XV
— La vie comparée à un banquet 
 19
XVI
— On doit manifester la pitié sans l’éprouver 
 20
XVII
— La vie humaine comparée à un théâtre. 
 21
XVIII
— Les présages 
 22
XIX
— Comment on peut être invincible. Placer le bien en nous seuls est le moyen de supprimer en nous l’envie 
 22
XX
— Nul outrage ne peut nous venir d’autrui, mais de nous-mêmes 
 23
XXI
— Ce que nous devons avoir sans cesse devant les yeux 
 23
XXII
— S’attacher au bien sans craindre la raillerie 
 24
XXIII
— S’attacher au bien sans désirer la louange 
 24
XXIV
— S’attacher à ce qui dépend de nous, c’est être vraiment utile à nous-mêmes et aux autres, à nos amis, à la patrie 
 25
XXV
— De quel prix on achète les biens extérieurs 
 27
XXVI
— Comment on peut connaître la loi de la nature 
 28
XXVII
— Le but du monde 
 29
XXVIII
— La prostitution de l’âme 
 29
XXIX
— Comment il faut examiner une action avant de l’entreprendre 
 30
XXX
— La mesure des devoirs 
 32
XXXI
— Le vrai culte envers la divinité 
 33
XXXII
— Comment il faut consulter les oracles 
 35
XXXIII
— D’un type idéal de conduite 
 37
XXXIV
— Comment on peut lutter contre le plaisir 
 41
XXXV
— Pourquoi craindre d’être vu en agissant ? 
 42
XXXVI
— Il faut séparer dans notre conduite le corps de l’âme comme la nuit du jour 
 42
XXXVII
— Ne pas changer notre rôle 
 43
XXXVIII
— Le faux pas 
 43
XXXIX
— La mesure de la propriété 
 43
XL
— De l’éducation des femmes 
 44
XLI
— C’est sottise que de prendre trop soin de son corps 
 45
XLII
— Être doux envers ceux qui font mal, car ils se trompent 
 46
XLIII
— Les deux anses 
 47
XLIV
— Ne pas confondre soi et ce qui est à soi. 
 47
XLV
— Ne pas juger la conduite d’autrui 
 48
XLVI
— Ne pas se dire philosophe, mais l’être 
 49
XLVII
— Être austère, sans s’en vanter 
 50
XLVIII
— Signes auxquels on reconnaît l’homme ordinaire et le philosophe 
 51
XLIX
— Commenter les philosophes n’est pas philosopher 
 52
L
— Les lois morales 
 53
LI
— Pratique et théorie 
 53
LII
— Les trois parties de la philosophie 
 54
LIII
— Sentences diverses 
 55
EXTRAITS DES ENTRETIENS D’ÉPICTÈTE.

I
— Où est le bien 
 59
II
— Portrait du philosophe 
 60
III
— Des choses qui sont en notre pouvoir et de celles qui n’y sont pas. — Le navigateur et les vents — Mort de Latéranus. — Mot de Thraséas. — Agrippinus partant en exil 
 61
IV
— Comment on peut conserver sa dignité en toutes choses. — Priscus Helvidius et Vespasien 
 65
V
— Quelles conclusions peut-on tirer de ce que Dieu est le père des hommes 
 67
VI
— Du progrès dans la philosophie. — Comment se font les tragédies. — À quoi servent les philosophes 
 68
VII
— Contre les sceptiques 
 70
VIII
— On court à Olympie contempler les jeux, et on oublie de se contempler et de se connaître soi-même 
 70
IX
— Des conséquences que l’on peut tirer de notre parenté avec Dieu 
 72
X
— Du suicide volontaire 
 73
XI
— Contre ceux qui à Rome cherchent les honneurs 
 75
XII
— De l’amour des siens 
 76
XIII
— Les esclaves sont nos frères 
 78
XIV
— À quoi s’engage la philosophie. 
 78
XV
— L’hymne à Dieu 
 79
XVI
— La maladie et la mort 
 80
XVII
— La philosophie comparée à l’art des devins 
 81
XVIII
— Il ne faut pas s’emporter contre ceux qui font mal. — La lampe d’Épictète — Le véritable athlète 
 82
XIX
— Que devons-nous être à l’égard du tyran — Les valets du tyran. — Le prêtre d’Auguste 
 84
XX
— Comment la raison se contemple elle-même. — Comment nous devrions examiner nos représentations. — La cécité du cœur et celle de l’intelligence 
 86
XXI
— Contre ceux qui veulent se faire admirer 
 87
XXII
— Comment doit-on lutter contre les circonstances difficiles ? — Le témoignage de Diogène. — Riches et pauvres. 
 87
XXIII
— Le point faible 
 89
XXIV
— De la force morale. — Le philosophe dans la prison. — Les gladiateurs demandant à combattre 
 90
XXV
— Des rôles que nous jouons dans la comédie humaine 
 92
XXVI
— Que faut-il avoir présent à l’esprit les circonstances difficiles ? 
 95
XXVII
— Être à la fois plein d’assurance et de précaution. — L’affranchissement civil et l’affranchissement moral 
 95
XXVIII
— Des conseils au sujet des événements extérieurs 
 97
XXIX
— Comment on peut à l’élévation de l’esprit unir le soin de ses affaires 
 97
XXX
— La mort est la maturité de la vie 
 99
XXXI
— Comment faut-il consulter les oracles 
 101
XXXII
— De la nature du bien. — Ce qui fait l’infériorité de l’âne par rapport à nous. — Du Dieu que nous portons en nous. — La Minerve de Phidias — L’homme remis par Dieu en garde à lui-même 
 102
XXXIII
— On n’est pas de force à remplir son rôle d’homme, et l’on se charge encore de celui de philosophe 
 104
XXXIV
— Comment de nos différents titres on peut déduire nos différents devoirs 
 106
XXXV
— Quel est le commencement de la philosophie ? — Nous avons tous des notions naturelles du bien et du mal; ce qui nous manque, c’est de savoir appliquer ces notions. — La balance du philosophe 
 108
XXXVI
— Des discussions 
 110
XXXVII
— De l’inquiétude 
 111
XXXVIII
— La vie humaine 
 112
XXXIX
— Sur les gens qui persistent obstinément dans ce qu’ils ont décidé 
 113
XL
— Nous ne nous préparons pas aux jugements que nous portons sur les choses bonnes et mauvaises. — Le joueur de harpe. — Ce dont il faut avoir peur. — Hercule. — Les monstres que chacun de nous porte en lui-même 
 115
XLI
— Utilité de la philosophie. — La philosophie et la médecine 
 119
XLII
— Les habitudes. — Comment elles se fortifient et s’affaiblissent 
 120
XLIII
— Exhortation 
 122
XLIV
— Des choses dont on ne convient pas 
 123
XLV
— De l’amitié. — Le sage seul peut aimer. — Étéocle et Polynice. — Le collier d’Ériphyle. — Une parole de Platon 
 124
XLVI
— Le talent de la parole. — Mépriser l’art de la parole est l’effet d’une impiété et d’une crainte ; y accorder trop d’importance est sottise 
 128
XLVII
— Nécessité de la logique 
 130
XLVIII
— De la véritable beauté 
 130
XLIX
— Comment on doit apprendre la philosophie 
 132
L
— De ce qui sert de matière à l’homme de bien et du principal but de ses efforts 
 134
LI
— Contre ceux qui, au théâtre, donnent des marques inconvenantes de faveur 
 135
LII
— À un rhéteur qui s’en allait à Rome pour un procès 
 136
LIII
— Comment doit-on supporter les maladies ? 
 138
LIV
— « Ils viennent des dieux » 
 140
LV
— De l’exercice. — Comment on peut détruire en soi les mauvaises habitudes 
 141
LVI
— Qu’est-ce que c’est que l’abandon ? Et qu’est-ce qui est abandonné ? — La véritable paix. — La mort et l’immortalité 
 142
LVII
— Çà et là 
 144
LVIII
— Qu’il faut y regarder à deux fois avant de se laisser entraîner à une liaison 
 145
LIX
— Justification de la Providence 
 146
LX
— Il ne faut pas se troubler des nouvelles 
 147
LXI
— De l’homme ordinaire et du philosophe 
 148
LXII
— On peut tirer profit de toutes les choses extérieures. — L’erreur et le mal. — La baguette de Mercure 
 148
LXIII
— Le philosophe cynique. Ses devoirs et son rôle dans l’humanité 
 150
LXIV
— Sur ceux qui font des lectures publiques ou soutiennent des discussions pour le plaisir de se montrer 
 158
LXV
— De la liberté. — La liberté pour les animaux. — La liberté pour l’homme. — Les compagnons de route du sage 
 161
LXVI
— La vraie liberté. — Diogène et Socrate 
 168
LXVII
— Ne s’oublier jamais 
 171
LXVIII
— Contre les gens querelleurs et méchants. — La marque des monnaies et la marque des hommes. — La ville forte 
 171
LXIX
— L’examen de conscience du courtisan 
 174
LXX
— Comment on s’élève au-dessus de la crainte. — Les enfants et les gardes du tyran. — La distribution des raisins et des figues. — La véritable loi 
 175
LXXI
— Sur ceux qui se hâtent trop de jouer le rôle de philosophes. — De l’opinion vulgaire sur la philosophie et les philosophes. — La profession et le costume — Comment Euphrate fit l’apprentissage de la philosophie. — Le germe et l’épi 
 177
LXXII
— De la propreté 
 181
LXXIII
— De l’attention 
 182