Modèle:5pchoisies/documentation

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Utilisation[modifier]

Permet d’afficher un aperçu de 5 pages provenant d’un livre.

Syntaxe[modifier]

{{5pchoisies|Livre|page-1|page-2|page-3|page-4|page-5|largeur}}

Paramètres[modifier]

Permet d’afficher un aperçu de 5 pages provenant d’un livre

Paramètres du modèle[Modifier les données du modèle]

La mise en forme sur une seule ligne est préférée pour ce modèle.

ParamètreDescriptionTypeÉtat
Livre1

Nom du livre sans le « Livre: » devant

Fichierfacultatif
Page en 1ère position2

Numero de la page en 1ère position

Exemple
25
Nombrefacultatif
Page en 2ème position3

Numero de la page en 2ème position

Exemple
26
Nombrefacultatif
Page en 3ème position4

Numero de la page en 3ème position

Exemple
27
Nombrefacultatif
Page en 4ème position5

Numero de la page en 4ème position

Exemple
28
Nombrefacultatif
Page en 5ème position6

Numero de la page en 5ème position

Exemple
29
Nombrefacultatif
Largeur7

Largeur de l’affichage de chaque page

Exemple
20px
Chaînefacultatif

Exemple[modifier]

Le code suivant :
{{5pchoisies|Mallarme - L'Apres-midi d'un faune (1876).djvu|6|8|10|11|19|100px}}
rendra :
L’APRÈS-MIDI D’VN FAVNE Églogve par STÉPHANE MALLARMÉ avec frontispice, fleurons & cul-de-lampe PARIS ALPHONSE DERENNE, ÉDITEUR 52, BOULEVARD SAINT-MICHEL, 52 M DCCC LXXVI Que délaisse à la fois une innocence, humide De larmes folles ou de moins tristes vapeurs. » Mon crime, c’est d’avoir, gai de vaincre ces peurs » Traîtresses, divisé la touffe échevelée » De baisers que les dieux gardaient si bien mêlée ; » Car, à peine j’allais cacher un rire ardent » Sous les replis heureux d’une seule (gardant » Par un doigt simple, afin que sa candeur de plume » Se teignît à l’émoi de sa sœur qui s’allume, » La petite, naïve et ne rougissant pas :) » Que de mes bras, défaits par de vagues trépas, » Cette proie, à jamais ingrate, se délivre » Sans pitié du sanglot dont j’étais encore ivre. Tant pis ! vers le bonheur d’autres m’entraîneront Par leur tresse nouée aux cornes de mon front : Tu sais, ma passion, que, pourpre et déjà mûre, Chaque grenade éclate et d’abeilles murmure ; Et notre sang, épris de qui le va saisir, Coule pour tout l’essaim éternel du désir. À l’heure où ce bois d’or et de cendres se teinte Une fête s’exalte en la feuillée éteinte : Etna ! c’est parmi toi visité de Vénus Sur ta lave posant ses talons ingénus, Quand tonne un somme triste ou s’épuise la flamme.

Voir aussi[modifier]

  • {{PageFichier}} : affiche un aperçu des pages (tout ou partie, mais en continue) d’un livre
  • {{PF}} : identique au précédent mais affiche les 15 premières pages