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Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, I.djvu/118

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gue ; avant de sortir de l’église, elle me présenta à toutes ses connoissances… — C’est elle, c’est la jeune femme du gendarme, de chez la Dubut ; rien qu’à la voir, je l’aurois deviné ; comme elle a l’air honnête et décente ; c’est une grace d’en haut, mon enfant ; trois ou quatre bonnes ames furent invitées, et le tout finit par du chocolat ; Maurice s’étoit endormi et dormoit encore.