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et des choses nouvelles. Si tu en as de mes parens, tâches de m’en faire arriver. Adieu, cousine, ton amitié me tient lieu de tout ce que je n’ai pas, et c’est beaucoup dire… À l’instant, on nous oblige en hâte de repartir. Ni paix, ni trêve ; ton amitié du moins.
LETTRE II.
14 août.
Non, cousine, je ne suis point encore morte, malgré tous les événemens
affreux qui se sont succédé
depuis quatre jours,
mais tu peux
presque dire que c’est un revenant
qui t’écrit, car je t’assure que j’ai
passé dans un autre monde ; ce n’est
pas aujourd’hui que je te puis donner