Page:Érasme, Bonneau - La Civilité puérile, 1877.djvu/187

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Conclusion


Si ce petit ouvrage peut être de quelque utilité, mon très-cher fils, je désire qu'il soit offert par toi à tous les enfants de ton âge. Par cette libéralité, tu te concilieras aussitôt l'amitié de tes jeunes compagnons d'études, en même temps que tu leur recommanderas l'application aux belles-lettres et aux bonnes mœurs. Que la bonté de Jésus daigne te conserver tes heureuses dispositions et, s'il se peut, les accroître encore. Écrit à Fribourg en Brisgau, au mois de Mars, l'an M.D.XXX.