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Page:Étrennes aux fouteurs, 1793.djvu/90

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Le Vit.

Oui, cher petit Con d’amour.

Le Con.

Je mourois d’envie d’en voir un.

Le Vit.

Ce n’eſt rien de me voir : c’eſt tout de me ſentir.

Le Con.

Comme vous remuez ! comme vous grandiſſez ! Que c’eſt drôle !

Le Vit. (s’approchant)

Si j’oſois…

Le Con.

Ne me touchez pas.

Le Vit.

O nature !

Le Con.

Les groſſes veines !

Le Vit.

Le joli poil !

Le Con.

Vous en avez auſſi.

Le Vit.

Le deſſus, le deſſous, les environs… Il n’y a rien comme cela.