Aller au contenu

Page:Étrennes aux fouteurs, 1793.djvu/93

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 83 )

Le Vit.

Je la ferois ſoupirer bien autrement de par tous les diables.

Le Con.

Ta vue & tes paroles me brûlent, me ſechent.

Le Vit.

Attends, que je te rafraîchiſſe, que je t’humecte un peu…

Le Con.

Ouf !… tu ne pourras jamais… Haye !… ah ! ah ! ah ! ouf !… arrête… rien qu’à l’entrée, je t’en prie… là… ah !… ah !… comme un ange !

ENSEMBLE.
   Le Con.
Ah !… ah !… ah !… ah !…
Ah !… ah !… délicieux !
Ah !… ah !… Je meurs !
Ah !.............ah !
   Le Vit.
Oh !… oh !… oh !… oh !…
Oh !… oh !… ah ! foutre !
Oh !… oh !… divin !
Ah !… ah !........ ah !
Le Vit. (après une longue reſpiration
de part & d’autre
)

Eh bien ?

Le Con.

C’eſt raviſſant !