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Page:Évanturel - Premières poésies, 1878.djvu/210

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Œillades et Soupirs



Ô les rêves alors que je fais en marchant,
Dans la tranquillité de cette solitude,
Quand le calme revient avec la lassitude !

Je me sens mieux.
Je me sens mieuxJe vais où me mène mon cœur.
Et quelquefois aussi, je m’assieds tout rêveur,
Longtemps, sans le savoir, et seul, dans la nuit brune,

Je me surprends parfois à voir monter la lune.