Page:Œuvres complètes de Delphine de Girardin, tome 6.djvu/510

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De Langeais.

Je vais leur parler…

(Il se montre à la fenêtre. Nouveaux cris du peuple.)
Finot.

Ils l’ont reconnu, ils crient : Vive de Langeais !

Rosette.

Déjà !…

De Langeais au dehors.

Il n’est plus ici, mes chers compatriotes Rosette est en fuite !…

(Rumeur décroissante.)
Rosette.

Que faire ?

De Langeais.

Si cette armoire peut vous être agréable… je serai charmé de vous l’offrir… Rassurez-vous, mes amis ne vous y laisseront pas dix-huit mois, vous y péririez de chagrin.

Rosette.

Mais vous n’en êtes pas mort, vous.

De Langeais.

Oh ! moi… (Montrant sa femme.) j’avais une consolation !


FIN.