Page:Œuvres complètes de Jean-Jacques Rousseau - II.djvu/804

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ir, comme elle fait, aux sentimens d’une amitié fidelle, et lui demande son consentement pour avouer à son époux sa conduite passée. xxx

Lettre XIX. Réponse. Sentimens d’admiration et de fureur chez l’Ami de Julie. Il s’informe d’elle si elle est heureuse, et la dissuade de faire l’aveu qu’elle médite. xxx

Lettre XX. de Julie. Son bonheur avec M. de Wolmar, dont elle dépeint à son Ami le caractère. Ce qui suffit entre deux époux pour vivre heureux. Par quelle considération elle ne fera pas l’aveu quelle méditait. Elle rompt tout commerce avec son Ami ; lut permet de lui donner de ses nouvelles par Mde. d’Orbe dans les occasions intéressantes, et lui dit adieu pour toujours. xxx

Lettre XXI. de l’Amant de Julie à Milord Édouard. Ennuyé de la vie, il cherche à justifier le suicide. xxx

Lettre XXII. Réponse. Milord Édouard réfute avec force les raisons alléguées par l’Amant de Julie pour autoriser le suicide. xxx

Lettre XXIII. de Milord Édouard à l’Amant de Julie. Il propose à son ami de chercher le repos de l’âme, dans l’agitation d’une vie active. Il lui parle d’une occasion qui se préfente pour cela ; et sans s’expliquer davantage, lui demande sa réponse. xxx

Lettre XXIV. Réponse. Résignation de l’Amant de Julie aux volontés de Milord Édouard. xxx

Lettre XXV. de Milord Édouard à l’Amant de Julie. Il a tout disposé pour l’embarquement de son ami en qualité d’Ingénieur sur un Vaisseau d’une Escadre Angloise qui doit faire le tour du monde. ibid.

Lettre XXVI. de l’Amant de Julie à Mde. d’Orbe. Tendres adieux à Mde. d’Orbe et à Mde. de Wolmar.

QUATRIÈME PARTIE


Lettre Premiere de Mde. de Wolmar de à Mde. d’Orbe. Elle presse le retour de sa cousine, à par quels motifs. Elle désire que cette amie vienne demeurer pour toujours avec elle et sa famille. 1

Lettre II. Réponse de Mde. d’Orbe à Mde. de Wolmar. Projet de Mde. d’Orbe, devenue veuve, d’unir un jour sa fille au fils aîné de Mde. de Wolmar. Elle lui offre et partage la douce espérance d’une parfaite réunion. xxx

Lettre III. — De l’amant de Julie à Mme d’Orbe. Il lui annonce son retour, lui donne une légère idée de son voyage, lui demande la permission de la voir, et lui peint les sentimens de son cœur pour Mme de Wohnar. xxx

Lettre IV. — De M. de Wolmar à l’amant de Julie. Il lui apprend que sa femme vient de lui ouvrir son cœur sur ses égaremens passés, et il lui offre sa maison. Invitation de Julie. xxx

Lettre V. — De Mme d’Orbe à l’amant de Julie. Dans cette lettre étoit incluse la précédente. Mme d’Orbe joint son invitation à celle de M. et de Mme de Wolmar, et veut que le nom de Saint-Preux qu’elle avoit donné précédemment devant ses gens à l’amant de Julie, lui demeure au moins dans leur société.

Lettre VI. — De Saint-Preux à milord Édouard. Réceptinn que M. et Mme de Wolmar foni à Saint-Preux. Différons mouvemens dont son cœur est agité. Résolution qu’il prend de no jamais manquer à son devoir. xxx

Lettre VII. — De Mme de Wolmar à Mme d’Orbe. Elle l’instruit de l’état de son cœur, de la conduite de Saint-Preux, de la bonne opinion de M. de Wolmar pour son nouvel hôte, et de sa sécurité sur la vertu de sa femme, dont il refuse la confidence. xxx

Lettre VIII. — Réponse de Mme d’Orbe à Mme de Wolmar. Elle lui représente le danger qu’il pourroit y avoir à prendre son mari pour confident, et exige d’elle qu’elle lui envoie Saint-Preux pour quelques jours. xxx

Lettre IX. — De Mme d’Orbe à Mme de Wolmar. Elle lui renvoie Saint-Preux, dont elle loue les façons, ce qui occasionne une critique de la politesse maniérée de Paris. Présent qu’elle fait de sa petite fille à sa cousine. xxx

Lettre X. — De Saint-Preux à milord Édouard. Il lui détaille la sage économie qui regne dans la maison de M. de Wolmar relativement aux domestiques et aux mercenaires, ce qui amène plusieurs réflexions et observations critiques. xxx

Lettre XI. — De Saint-Preux à milord Édouard. Description d’une agréable solitude, ouvrage de la nature plutôt que de l’art, où M. et Mme de Wolmar vont se récréer avec leurs eufans, ce qui donne lieu à des réflexions cri-