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Doriette.
Allons, vite, le cor !Silvère.
Ta chevelure blonde illumine et parfumeL’ombre douce et le soir voilé de claire brume.
Doriette.
Hâtons-nous !Oriane, à Doriette.
Un instant ! Aurais-tu peur ?
Elle rit. À elle-même.
Mais mon cœur a tremblé comme un oiseau surpris.
Silvère, il se lève, va vers elle et l’enlace.
Je t’aime !Doriette.
Sonne donc !Oriane.
Soit ! Ma tâche est finie.
Avec une ironie affectée, elle se dégage.
Bonsoir, enfant ! Oui, j’ai laissé par ironie