Page:Œuvres de Barthélemy et Méry, tome 3, 1831.djvu/163

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CHANT SEPTIÈME

La Peste


 
Voyez-vous au midi ces grèves désolées,
Où le lac de Tibère étend ses eaux salées ?
Voyez-vous le Carmel, dont le dernier vallon
Porte un fleuve sans gloire aux plaines d’Esdrelon ?
Nazareth et Cana, tout empreints du Messie,
La cime de l’Hermon, par les cèdres noircie,