Page:Œuvres de Barthélemy et Méry, tome 4, 1831.djvu/201

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Du vaisseau de La Pérouse
M’a caché les vieux débris !
Ici tombe ce mystère ;
Fouillez l’écho solitaire,
Car l’onde de cette terre
Me répond : Il m’a compris !
 
Vanikoro ! qu’on la sonde !
Plus de doute, c’était là :
Un noir écueil à fleur d’onde
De ma mère me parla.
Là, son pilote en souffrance,
Aux cris de vive la France !
Jetait l’ancre d’espérance.
Je l’ai prise, la voilà !

La voilà l’ancre fatale,
Sous son anneau fracassé ;