Page:Œuvres de Barthélemy et Méry, tome 4, 1831.djvu/209

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Enfin, d’autres cités ont la mer pour voisine,
Claires eaux, bois de pins qu’embaume la résine,
Côteaux de thym semés, doux réservoirs de miel ;
Mais nous avons de plus sur ces filles de l’onde
Le plus grand bien que Dieu puisse accorder au monde :
            La liberté sous un beau ciel !


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