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empeschent la continuité du mercure. Ce qui pourroit servir de prétexte aux peripateticiens, de dire que c'est de là que vient leur raréfaction prétendue \ Et en troi- siesme lieu il faut que le pot ou jatte dans lequel vous mettez le mercure et Feaûe soit profond et assez large d'entrée pour y^ passer le bras aysement. Finalement plus il y aura de mercure au fonds dudit^ pot, plus belle en sera l'expérience, du moins il y en faut trois ou quatre pouces, afin que haussant et baissant la sarba- tane dans cet espace, on voye augmenter ou diminuer* le prétendu vuide, dont je vous ay dit cy dessus que je vous^ ferois le récit particulier. Vous remarquerez donc que quand il est tumbé du mercure tout ce qui® peut tumber jusques à une certaine hauteur, et que le haut de la sarbatane est demeuré vuide, pour parler ainsi, d'une certaine longueur : tant que la canne demeure en cet estât, le mesme vuide demeure tousjours. Et je me sou- viens que lors de l'expérience, quelqu'un ayant demandé pourquoy dans toutes les ' fois le mercure n'estoit pas des- cendu plus bas ^, nous respondismes Monsieur Pascal et moy qu'il falloit dire que la nature ne pouvoit pas soufrir un plus grand vuide, comme les autres disent, une plus grande refraction ; mais je me suis aperceu
��I. Texte imprimé : et conversion d'un Elément en l'autre. En second lieu il faut que la terrine ou vase dans lequel.
3. Texte imprimé: pouvoir passer la main aysement.
3. Texte imprimé : vase.
A- Texte imprimé : à proportion le prétendu vuide sur quoy]e vous.
5. Texte imprimé : escrirois mes pensées. Vous.
6. Texte imprimé : en.
7. Texte imprimé : trois fois.
8. Texte imprimé : que cela, nous respondismes unanimement à l'abord qu'il.
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