Page:Œuvres de Blaise Pascal, II.djvu/192

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quelque soupçon peut estre aussi desavantageux qu’injuste. Car enfin, aprez y avoir bien songé, je n’y trouve qu’une obscurité où il seroit dangereux et difficile de decider, et pour moy j’en suspends entierement mon jugement, autant à cause de ma foiblesse que pour mon manque de cognoissance[1]



  1. Nous n’avons plus la suite de cette lettre ; elle devait contenir le récit des entretiens de Pascal avec M. Rebours, et elle devait être fort longue, à en juger par l’allusion de la lettre du 1er  Avril (supra, p. 247).