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Page:Œuvres de Blaise Pascal, II.djvu/458

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438 OEUVRES

connoissance de la nature, au moins servira- t-il, s'il vous plaist, à entretenir nôtre amitié. Je vous demande aussi que vous me fassiez la faveur de m'aider à conserver celle de Messieurs Pascal. Ma femme et moy présentons nos tres-humbles baisemains à Madame Perier et à Made- moiselle Pascal, et ne sommes pas sans espérance que nous aurons quelque jour le bon-heur de vous saluer dans la Province. Je suis, Monsieur, Votre tres-humble et tres-obeïssant serviteur. Chanut*.

��I. « Et au-dessus desdites lettres, il y avoit : A Monsieur Perier, Conseiller du Roy en la Cour des Aydes de Clermont-Ferrand. A Clermont. »

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