Ed. 1678, Ch. xxxi] 19
La dernière chose qu’on trouve en faisant un ouvrage, est de savoir celle qu’il faut mettre la pre mière t.
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Ordre 1, — Pourquoi prendrai -je plutôt à diviser ma morale en quatre qu’en six ? pourquoi établirai je plutôt la vertu en quatre, en deux, en un ? pour quoi 3 en abstine et sustine 4 plutôt qu’en suivre
l’art d’écrire ou plutôt (puisqu’Épictète n’a rien écrit) « de con férer », elle place Salomon de Tultie. Qui est ce Salomon de Tultie ? Havet soupçonnait, à la lecture de ce fragment, que ce pouvait être Pascal lui-même. Le pasteur Chavannes a fait voir que Salomon de Tultie était en effet l’anagramme de Louis de Montalte, pseudonyme sous lequel avaient paru les Provinciales j c’est ce nom qui devait lui servir sans doute pour l’Apologie de la Religion chrétienne. Pascal avait, d’ailleurs, formé de la même manière Amos Deltonville dont il avait fait l’auteur des opuscules scientifiques qu’il publia vers la fin de 1658. (Ed. Lahure, t. III, p. 3Ô2 sqq.)
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Cf. Bos., T, x, 39 ; Faus., I, a5 1 ; Hav., VII, 39 ; Mot., II, i33 ; Mien., 985.
1. Il est peu probable que cette réflexion ait été écrite par Pascal ; c’est un souvenir de conversation, qui aurait été recueilli par Port Royal.
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Cf. B.,3 7 3 ; C, 33o ; P R., ult., XXIX 3s ; Bos., I, h, 38 ; Fado., II, 388 ; Hay., VI, 35 ; Mol., II, 63 ; Mich., 733.
a. Port-Royal imprime ce début : a Les philosophes se croient bien fins d’avoir renfermé leur morale sous certaines divisions. »
3. En, surebarge.
4. [Pourquoi.] — Charron loue « le grand philosophe Epictète » d’avoir « très bien signifié » les deux formes de la Sagesse, « conv
