Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
LETTRES.
ANNÉE 1629.
A M. FERRIER.
(Lettre 98 du tome III.)
D’Amsterdam[1], le 18 juin 1699.
Monsieur,
Depuis que je vous ai quitté, j’ai beaucoup appris touchant nos verres, en sorte qu’il y a moyen de faire quelque chose qui passe ce qui a jamais été vu ; et le tout semble si facile à exécuter, et est si certain, que je ne doute quasi plus de ce qui dépend de la main, comme je faisois auparavant : mais c’est une chose que je ne saurois écrire ; car il arrive mille rencontres en travaillant qui ne se
- ↑ « Il demeurait pourtant en Frise, près de Franeker. Voyez le tome ii, page 522. »