Page:Œuvres de Louise Ackermann.djvu/34

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Comme un enfant en pleurs, j’osai crier : « Prends-moi !
Prends-moi, car j’ai besoin, par delà toute chose,
D’un grand et saint espoir où mon cœur se repose,
D’une idée où mon âme, à qui l’avenir ment,
S’enferme et trouve enfin un terme à son tourment. »

Paris, 1832.