Cette page a été validée par deux contributeurs.
Voit soudain, pour toujours délivré des autans,
Au toucher de la lyre accourir le Printemps.
Ah ! que nous sommes loin de ces temps de merveilles !
Les ondes, les rochers, les vents n’ont plus d’oreilles,
Les cœurs mêmes, les cœurs refusent de s’ouvrir,
Et la lyre en passant ne fait plus rien fleurir.