Page:Œuvres de Louise Ackermann.djvu/78

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Il va dormir ainsi sous la voûte étoilée
Jusqu’à l’heure où la nuit, frissonnante et voilée,
Disparaîtra des cieux t’entraînant sur ses pas.
Peut-être à son réveil te verra-t-il encore
Qui, t’effaçant devant les rougeurs de l’aurore,
Dans ta fuite lui souriras.