Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/124

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— Une caisse d’œillets, un pot de giroflée
Qui laisse choir au vent sa feuille étiolée
Et du soleil oblique implore le regard,
Une cage d’osier où saute un geai criard,
C’est un tableau tout fait qui vaut qu’on l’étudie ;
Mais il faut pour le rendre une touche hardie,
Une palette riche où luise plus d’un ton,
Celle de Boulanger ou bien de Bonnington.