Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 2, Lemerre, 1890.djvu/126

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En me disant cela d’une voix claire et douce,
Sur l’atroce sculpture elle passait son pouce,
Coquette, souriant d’un sourire charmant,
L’œil humide et lustré comme pour un amant.


Madrid, 1843.