Page:Œuvres mêlées 1865 III.djvu/345

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Je voudrois pouvoir faire ce qu’elle eût fait et ce que je ne saurois gagner sur moi. L’intérêt de ce qu’elle me devoit n’a aucune part à mes regrets. Quand je songe que la nièce et l’héritière de M. le cardinal Mazarin a eu besoin de moi, en certain temps, pour subsister, je fais des réflexions chrétiennes qui serviront à mon salut, si elles sont inutiles pour mon payement.