Page:Œuvres poétiques de François de Maynard, 1885, tome 1.djvu/383

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Encore que tu sois de nature immortelle,
Tu deviens toutes fois par le peché mortelle
Mon ame change donc de vie et de sejour

Ce monde est passager, Dieu seul est immuable,
Ne prefere donc plus les tenebres au jour,
Et à l’eternité un moment perissable.