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Page:אמרי לב Prières D'un Cœur Israélite (Jonas Ennery, 1848).djvu/248

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jour de kifoor ; •or 1• réformo qu’on l’tit imposée et la manière dont on l’• accompli• ; •or le progrès qu’on a fait depuis dan• 10 bien ; sor les commandements de Diea et la manière dont on les a acoomplis ; sor les devoirs de l’Israélite en général et sur ceux de son état en particu —lier, •oit comme père oa mère de famille, •oit comme maître oa ser> viteur ; sur les babitades qu’on a et sar les occasions de faillir ans-qadles on a été exposé ; sor les péchés qa’on a commis soi-mâme et sar ceax qa’on a fait commettre aux autres} soit envers Diea, soit envers le prochain, soi( envers soi-mâme, et généralement sur tout ce qai a pu donner liea k quelque péché ou de parole, ou d’action, ou d’omission.

C’est fartoat le moment de songer aax torts qa’on a faits à son pro-chain par ses propos et ses œuvres, et de chercher k les réparer, •oit en faisant amende honorable, si on a nui a sa réputation, soit en reeli-tuant un bien qu’on détient illégitimement, soit enfin en se réconciliant avec ceux avec lesquels on vit en état de rupture. Car nos sage■ disent (mscHlUH, joua) : •Le kifoor n’efface les péchés quelorsque l’homme s’est préalablement réconcilié avec son prochain. "

En faisant la revue de sa conscience, il faut compter beaucoup plus sar la lumière de Dieu que sur sa propre mémoire, songer bien pins à se repentir de ses fautes qu’à les énamérer, se rappeler non-seniement tes mauvaises actions, mais encore ses mauvais lentiments, et de-mander instamment a Diea la grâce d’ane vraie contrition.

II.

PRIÈRE APRÈS L’EXAMEN DE CONSCIENCE.

Mon Dieu, je reconnais ce que je mérite par tant d’offenses, m#is j’ose espérer encore, é Seigneur, car je sais quelle est la grandeur de ta miséricorde pour ceux qui se repentent de leurs égarements, et qui retournent à toi de tout