sous les yeux) attends… que c’est bon !… que c’est bon !… Ah ! tiens… voilà… jouis, Dora… Flora, ah !… je jouis… je jouis… »
Lâchant enfin l’instrument de son plaisir, elle s’affala sur la natte, à l’instant même où Dora me serrant plus étroitement la tête entre ses cuisses robustes se pâmait à son tour dans les bras de Flora, qui lui mordait les seins en rugissant, et où je fondais moi-même dans la bouche d’Amalla !…
— Et dire, s’exclama Dora revenue à elle la première que cette gamine nous apprend du nouveau !… Le fait est que ce doit être exquis : nous n’y avions jamais pensé !… Les titillations doivent être divisées à l’infini !…
— Mais qui t’a appris cela ? demanda Flora.
— C’est une idée qui m’est venue toute seule, en voyant étalée cette belle chevelure si douce, de me mettre à cheval et de me frotter dessus.
— Et c’est bon ?…
— Oh ! tu n’en as pas idée !… Ça chatouille par une infinité de points… oh ! tiens, si l’on avait, en plus, quelque chose à sucer, ce serait tout ce qu’il y a de plus bon au monde…
Comme tu le vois, ma chère Cécile, nous employons bien notre temps. Plus nous approchons du terme fixé pour notre séparation, plus l’imagination s’exaspère et s’ingénie à trouver de nouvelles jouissances. La diversité de nos plaisirs empêche la satiété : jamais troupe mieux dressée n’a joué avec plus de lubrique fantaisie les multiples scènes de la comédie de la Volupté.