Page:Abadie - L’Angelus des sentes, 1901.djvu/105

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 99 —


III
Heureux celui que les Muses adorent,
De doux accents découlent de ses lèvres.
Homère(Hymne aux Muses et à Apollon).


 
Toi qui voyant le mal planer au front des hommes
Semas la vérité dans les vivants sillons,
Et qui jetant la joie, en nous, comme des baumes
Fis défaillir nos yeux des feux dont nous brûlons