Page:Abgrall - Luc hed ha Moged.djvu/83

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Lors, loin de tout bruit, sur la verte mousse,
Je reste avec lui, pour le consoler.
Son chagrin se fond, ma voix est si douce…
Il n’est que les cœurs pour savoir causer.
Plus tard il faudra que l’on se marie.
J’ai déjà paré un gentil trousseau.
Non ! il n’est pas beau… mais il est ma vie.
Il m’apportera l’amour pour cadeau. »