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À MONSIEUR
CAUSSIN DE PERCEVAL
vice-président de la société asiatique de Paris
professeur d’arabe littéral au collège de France
professeur d’arabe vulgaire
à l’école royale et spéciale des langues orientales vivantes
etc, etc, etc

  Monsieur et cher Professeur,


Permettez-moi de vous offrir l’hommage d’un travail entrepris sous vos auspices, et daignez l’agréer une faible marque de ma reconnaissance. Vous avez bien voulu, dans le but d’éclairer mon inexpérience, m’aider de vos excellents conseils ; vous avez eu l’obligeance de mettre à ma disposition des documents extraits par vous d’écrivains orientaux, et qui, en suppléant à la concision de l’auteur arabe, pouvaient compléter le sens indécis de quelques passages ou me décider entre des leçons diverses. Si cette publication peut ne pas être inutile