Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/101

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Turcs, et le cocher n’amusa que lui-même.

Dans une voiture infiniment plus brillante et mieux attelée, le notaire se lamentait en présence de ses deux amis.

— C’en est fait, disait-il, je suis l’équivalent d’un homme mort ; il ne me reste plus qu’à me brûler la cervelle. Je ne saurais plus aller dans le monde, ni à l’Opéra, ni dans aucun théâtre. Voulez-vous que j’étale aux yeux de l’univers une figure grotesque et lamentable, qui excitera le rire chez les uns et la pitié chez les autres ?

— Bah ! répondit le marquis, le monde se fait à tout. Et, d’ailleurs,