Aller au contenu

Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/107

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Dire que M. L’Ambert resterait défiguré toute sa vie, c’était désespérer trop tôt de la science.

— À quoi nous servirait-il d’être nés au XIXe siècle, si le moindre accident devait être, comme autrefois, un malheur irréparable ? Quelle supériorité aurions-nous sur les hommes de l’âge d’or ? Ne blasphémons pas le saint nom du progrès. La chirurgie opératoire est, grâce à Dieu, plus florissante que jamais dans la patrie d’Ambroise Paré. Le bonhomme de Parthenay nous a cité quelques-uns des maîtres qui raccommodent victorieusement le corps humain. Nous voici aux portes de Paris, nous enverrons à la plus prochaine pharmacie, on nous