Cette page a été validée par deux contributeurs.
rue de Beaune pour qu’il vînt prêter de sa peau à M. L’Ambert.
Les gens de la maison, avertis, l’introduisirent en hâte.
Il s’avança timidement, le chapeau à la main, levant les pieds aussi haut qu’il pouvait, et n’osant les reposer sur le tapis. L’orage du matin l’avait crotté jusqu’aux aisselles.
— Chi ch’est pour de l’eau, dit-il en saluant le docteur, je…
M. Bernier lui coupa la parole.
— Non, mon garçon : il ne s’agit pas de votre commerce.
— Alors, mouchu, ch’est donc pour auchtre choge ?
— Pour une tout autre chose.