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LE NEZ D’UN NOTAIRE
I
L’ORIENT ET L’OCCIDENT SONT AUX PRISES : LE SANG COULE
aître Alfred L’Ambert, avant le coup fatal qui le contraignit à changer de nez, était assurément le plus brillant notaire de France. En ce temps-là, il avait trente-deux ans ; sa taille était noble, ses yeux grands et bien fendus ; son front olympien, sa barbe